Jeux de lèvres tout au bord de l'eau
Datte: 09/02/2019,
Catégories:
fh,
couple,
plage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
portrait,
... branle dans sa bouche. Elle se recule doucement, mon sperme, crémeux, jaillit autour du cylindre de ma bite, suinte sur ses lèvres. Il déborde, la submerge, l’inonde, chaud et consistant. Elle me laisse me retirer non sans m’avoir aspiré et bu goulument. — Jean Marie, regardez ! Il y en a encore. Cela coule sur votre toison, sur mon menton, dans mon cou, je sens même des gouttes sur mes seins. Il est moins brûlant que tout à l’heure. Cela gicle encore, tout fin et transparent, un filet qui veut se plaquer sur mon visage. Je n’aurais jamais imaginé qu’il puisse en contenir autant après tout ce que vous avez expulsé hier. Merci Jean Marie, j’en ai plein les lèvres, le nez, même sur mon front. C’est merveilleux. Et quel goût ! Elle me reprend. Elle m’avale, me mange, appuyant plus fortement avec ses lèvres. Elle me mord, je sens ses dents qui se referment sur ma chair. — Dommage que votre queue ne soit pas un gâteau. Je ne me souvenais plus qu’il puisse être aussi brûlant ce liquide. Pouvez-vous conserver votre membre bien dur ? Je n’aime pas quand il retombe tout de suite comme s’il était déjà rassasié et qu’il ne me satisfaisait plus ? Jean Marie, je vais m’assoir un peu plus loin, cela ressemble à un banc de fortune taillé dans le rocher, il m’attend, il nous attend. Nous nous déplaçons sur quelques mètres, Catherine a pris le temps de ramasser son soutien-gorge et mon slip de bain, tous les deux maculés de sable. Ses seins brinquebalent dans tous les sens, pointes au vent. ...
... Ils me semblent énormes ses tétons tout comme je trouve anormale la raideur de ma queue après avoir été si soigneusement asséchée. Catherine s’installe sur un rocher d’un noir luisant bas, poli par les flots, une banquette naturelle avec ses accoudoirs et un dossier à peine enveloppant mais sur lequel elle peut toutefois s’appuyer, ce qu’elle entreprend aussitôt. Ce siège a été chauffé par le soleil et elle sourit de plaisir. Je m’accroupis en face d’elle, et je place ma tête entre ses jambes écartées et légèrement relevées. — Vous pouvez retirer mon slip. Il me gêne, vous aussi je crois. Ici, il ne sert à rien. Il n’y a personne.— Oui, nous sommes vraiment seuls.— Seuls, nus, impudiques, audacieux et libres, tout ce que j’aime et que je ne m’étais pas encore autorisé. Et vous, Jean-Marie ?— En rêve, mais je n’en suis pas aussi certain !— Nous disposons du temps, enfin presque, de l’espace, de la tranquillité. Dépêchez-vous ! Il faut que je vous le montre et que vous me dévoriez. Je me penche vers son entrejambe, ému et époustouflé par la grosseur de son mont de Vénus que je devine sous le tissu mouillé de son slip de bain. J’adore cette colline bombée qui me laisse déjà imaginer des rondeurs et des rotondités accueillantes, douces au toucher. Elles annoncent une faille profonde que je n’ai pas pris le temps de bien dévisager hier. Ce monticule attise mes sens et m’invite à en savoir plus. Je pose mes mains sur ses hanches qui frémissent au contact de ma peau. Je m’empare de ...