1. Vacances et initiation


    Datte: 21/06/2017, Catégories: hh, vacances, plage, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, intermast, Oral init,

    En vacances sur la Côte d’Azur avec ma famille au mois d’août, je me faisais un plaisir d’aller bronzer sur une plage différente tous les jours. Sitôt après le déjeuner, et en général après une soirée copieusement arrosée, j’enfournais mon scooter à la recherche d’une plage accueillante, pas trop peuplée, ni polluée. Je longeais les files interminables de voitures stoppées les unes derrière les autres sur la nationale qui bordait la mer de Saint-Tropez à Cannes, sans savoir précisément où j’allais. Je me souvins d’avoir connu un jour une crique superbe, où l’eau était très claire, dans les environs de Ramatuelle, après la sortie de Saint-Tropez. J’avais un souvenir diffus de cette plage où j’avais du me rendre gamin, très belle mais difficile d’accès et donc préservée de la masse d’aoûtiens stockée sur les carrés de sable familiaux. L’endroit s’appelait "la Bastide Blanche", près de la plage de l’Escalet, à proximité de Ramatuelle. A l’entrée du village de Saint-Tropez, une carte routière m’indiqua où passer pour pouvoir m’y rendre. Je quittais le village déjà noir de monde pour m’enfoncer dans la campagne varoise, ses vignes, son soleil généreux, avec le sentiment de liberté et d’insouciance propre aux vacances d’été. Quelques kilomètres après, j’accédais à une petite route discrète et finalement à un petit bourg. Sans commerce, le microvillage était peuplé ça et là de villas bien protégées du regard d’autrui. Je continuais doucement sur une route qui s’arrêtait quelques ...
    ... mètres plus loin. Après, l’accès devenait privé. Des types étaient assis là, et levèrent la barrière en échange de quelques euros pour me laisser garer mon deux roues au bout du chemin. Là, je pris ma serviette, et descendis vers le littoral qui n’était plus accessible qu’aux piétons. Je pus contempler le bord de mer rocailleux mais pas du tout inamical, bordé à certains endroits de petites criques de sable blanc. En passant, je remarquais qu’il s’agissait d’un site classé et protégé, interdit aux aménagements. De là découlait le fait qu’aucune habitation ne surplombait cette plage réservée aux amateurs de marche et d’escalade. J’entamais alors ma marche vers un coin tranquille, passant devant des plagistes plutôt âgés, sans enfant, majoritairement constitués de couples. L’accès devint alors plus difficile, je dus escalader la roche, emprunter des chemins sinueux et minuscules. Mais le décor devenait aussi plus beau, l’eau était émeraude, et la population se raréfiait. Après avoir marché quelques minutes, je tombais sur une crique dissimulée par un virage de pierre. En me rapprochant, je remarquais au fur et à mesure que les plagistes, vieux ou jeunes, hommes ou femmes, étaient nus. C’était un endroit nudiste. Près de la crique, je me rendis compte que les gens paraissaient à l’aise, et agissaient comme si de rien n’était. Je passais au milieu des corps allongés et nus, en faisant attention que mon œil ne dérape pas trop. La tentation était cependant trop forte et je ne pus ...
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