Vacances et initiation - Histoires de Sexe

Vacances et initiation

... m’empêcher de regarder les seins dorés des femmes assoupies, leur sexe plus ou moins entrouverts, leur corps transi par la chaleur. Je lorgnais également du côté des sexes d’hommes, intrigué par leur volume, certains trapus, d’autres en état de semi-érection, décalotté ou non, au gland parfois sec, parfois luisant. Un trouble certain m’envahit et je faillis m’arrêter là, mais ma timidité et la peur d’être trahi par ce que je venais de voir me firent continuer. Je regagnais à nouveau la roche, laissant derrière moi les plagistes aux tenues d’Adam et Eve. J’avais cependant du mal à me débarrasser de la vision de ces corps qui étaient là comme à disposition, au moins pour le regard. Cet endroit n’était pas un centre naturiste, et il semblait difficile de ne pas croire que certains - sinon tous - venaient pour le plaisir de regarder et de se montrer. Certaines femmes m’avaient d’ailleurs frappé par leur beauté et certaines d’entre elles avaient l’air de prendre soin de faire bronzer, discrètement mais pas trop, l’intérieur de leur cuisses. Mais mon esprit gardait également - et de façon insistante - l’image de certains beaux sexes d’hommes qui traînaient langoureusement sur le ventre de quelques-uns, fiers d’exhiber leur muscle au sommet desquels trônaient des glands roses finement décalottés. La vision de ces membres me troubla, et je sentis en moi surgir une sensation floue de danger et d’érotisme. Plus loin, le chemin disparaissait et pour continuer, il fallait clairement ...

... continuer là où la roche permettait de pouvoir circuler. Il n’y avait plus grand monde dans cette zone, quelques couples qui s’étaient appropriés les rares criques près de la mer. Finalement, je pus moi aussi trouver un endroit où la roche était moins abrupte et où l’on pouvait s’allonger avec une serviette sans trop de difficultés. Un peu assommé par la chaleur, j’étais alors pressé de me rafraîchir et de visiter le faune aquatique qui se laissait deviner à la surface de l’eau. J’étais seul, personne aux alentours, et l’idée me vint de me mettre nu. Je n’étais pas un adepte du nudisme, par timidité encore une fois, mais là, je ne risquais rien, en principe. J’ôtais alors mon maillot et, nu face à la mer, je ressentis alors l’impression de revenir à un âge où il est naturel de se promener et de se montrer sans barrière. Une impression de liberté. Je plongeais ni une ni deux et une sensation bénie de fraîcheur m’envahit délicieusement. Avec mon masque, je savourais la vue de l’espace aquatique immense et silencieux qui s’offrait à moi, traversé par les éclairs du soleil. Un espace de plénitude où quelques poissons circulaient en apesanteur, indifférents au monde merveilleux qui était le leur. Lorsque je remontais à la surface, je vis que ma petite crique avait été colonisée par deux types qui étaient en train d’allonger leur serviette à quelques mètres de la mienne. L’idée de ressortir de la mer me bloquai,t vu que je n’avais que mon masque avec moi, mais si je ne faisais rien, ...