Vacances et initiation - Histoires de Sexe

Vacances et initiation

... faisait remonter ses doigts délicatement le long du muscle, et passait pour finir un doigt autour du gland devenu luisant à force de secréter un liquide scintillant et transparent. Pour ma part, je ne me faisais pas prier pour regarder, et laissais développer mon érection à la vue de cette scène si incroyablement excitante. Je savais qu’en laissant visible mon érection, je signais mon adhésion à leur petit rituel et prenait conscience de ce que c’était là le premier des gestes volontaires en faveur de ma part d’homosexualité. J’osais même, légèrement tremblant, une petite caresse sur mon sexe en essayant de me souvenir ce que ça faisait de se branler mutuellement. Pour eux en tout cas, l’appel avait été clairement entendu. Finalement, l’autre cessa de caresser son pote et se leva, le sexe mi-tendu, pour venir me parler. Il s’assit à proximité de moi, et, très souriant et détendu, engagea la conversation. — Salut, dit-il. Excuse-moi, j’espère qu’on ne te dérange pas. On a t’a vu tout à l’heure te mettre à ton aise, alors on a pensé que c’était le coin réservé aux gays nudistes. Comme en plus, il n’y pas plus de place aux environs, on s’est permis de se mettre ici.— Aucun problème, fis-je en faisant un effort surhumain pour paraître totalement détendu.— Bon super, en fait, je m’appelle Vincent et lui c’est Thierry. Thierry a une maison vers Port-Grimaud, et on passe du coup quelques jours de vacances là-bas. On vient là pour bronzer à notre aise, et pour rencontrer des ...

... personnes sympas. En me parlant, je voyais que son regard se déplaçait de temps en temps vers mon sexe toujours dressé mais qui devenait mi-dur. Il parlait néanmoins avec un air à moitié amusé. De mon côté, je n’étais qu’à quelques centimètres de son beau sexe alors détendu mais un peu grossi, le gland à l’air. Je pouvais presque sentir son odeur. J’envoyais des regards furtifs vers son entrejambe, et un filet de salive envahit ma bouche. — Si tu veux, tu peux déjeuner avec nous, me proposa-t-il finalement. J’acceptais sans réserve et fis connaissance avec Thierry. Nous discutâmes de chose et d’autre, les études, la beauté de la région, le monde qui envahit la Côte d’Azur l’été, etc. Nous passâmes l’après-midi ensemble, ils étaient très sympas tous les deux, pas du tout efféminés, et, s’ils n’avaient pas fait de nudisme ni de geste provoquant, rien n’aurait laissait présager chez eux leur orientation sexuelle. À ma surprise, ils se comportaient plutôt comme des potes, si ce n’est qu’ils partageaient le même lit et que visiblement, ils baisaient ensemble. Je me demandais quand même ce qu’ils voulaient de moi. La discussion dériva vers les gays, ce qu’ils en pensaient, ce que leur famille en pensait, etc. Visiblement, les parents étaient tolérants et les acceptaient tels qu’ils étaient. Chapeau. Pris par une bonne inspiration, je leur avouais de mon côté que j’étais vierge de toute expérience, que ça m’avait toujours intrigué, mais que je souhaitais essayer avec quelqu’un avec qui ...