Un rendez-vous chez le dentiste - Histoires de Sexe

Un rendez-vous chez le dentiste

... temps, elle croisa les jambes d’un geste lent et mesuré. Le cœur d’Antoine se mit à battre à tout rompre et son sexe se dressa presque instantanément. Avalant sa salive, il se mit à rougir, sans pour autant quitter des yeux cette image sublime. — Alors, le pressa-t-elle ?— … Euh oui, madame, bredouilla-t-il, tout intimidé.— Oui quoi ?— Oui… Vos jambes sont aussi belles que les siennes.— À la bonne heure ! Elle laissa retomber sa robe légère, sans vraiment cacher ce qu’elle avait découvert. — Mais enfin, où voulez-vous en venir, s’enhardit-il à lui demander ? Alors, de plus en plus mutine, elle lui répondit d’une manière qui leva tout doute (s’il pouvait encore en avoir) sur ses intentions : — Mais parce que je dois mieux connaître ma rivale, voyons.— Vous alors … Antoine ne put terminer sa phrase.— Moi quoi ? continua-t-elle.— … vous n’avez pas froid aux yeux.— Je vous choque ? Le feu étant repassé au vert, il redémarra et heureusement, sinon il l’aurait violée sur place !Quelle salope, pensa-t-il…Mais diablement belle ! Il reprit ses esprits : — Vous ne me choquez pas, mais votre audace m’étonne. Vous chercheriez à me draguer que vous ne feriez pas autrement.— Antoine, poursuivit-elle sur le ton de la confidence, je vous ai dit je crois que mon mari ne se comportait plus en mari… Vous savez, je me sens bien seule et délaissée. Puis, posant la main sur la cuisse d’Antoine, elle continua : — J’ai besoin d’un peu de tendresse. Voilà tout. Il saisit cette main et la caressa ...

... doucement. Il jetait de fréquents regards sur les cuisses de sa passagère, qui continuait à les exhiber indécemment. Pascale était décidément terriblement sexy. Arrivés devant chez le dentiste, Antoine proposa de l’accompagner, mais elle refusa. — Restez donc au soleil à m’attendre. Vingt minutes plus tard, elle sortait déjà. Antoine, qui se tenait près de la voiture lui ouvrit la portière. Elle le gratifia d’un grand sourire et monta dans la voiture sans se soucier de sa robe qui, à ce moment, avait encore largement remonté, et bien sûr, Antoine ne manqua rien du joli spectacle. Lorsqu’il reprit place au volant, il constata qu’elle avait encore relevé sa robe au-delà de toute raison. — Ça vous embête si on fait un saut au supermarché, minauda-t-elle… Je n’ai plus rien !— Bien sûr que non… Vos jambes sont superbes, Pascale. Pour toute réponse, elle se tourna vers lui et lui fit un clin d’œil. Dans le magasin, comme la semaine passée, il la suivit avec le Caddie en regardant se trémousser son petit popotin. Elle se montra aussi plus proche, n’hésitant pas à venir à son contact sous prétexte de charger le caddie d’un article. Antoine pouvait à ce moment sentir son subtil parfum ; un parfum floral qui s’accordait à merveille avec son teint frais. À un autre moment, elle lui demanda s’il pouvait saisir un article trop haut pour elle. Pour le remercier, elle le gratifia d’un baiser sur la joue, ce qui l’électrisa littéralement. Son pénis se mit tout à coup à gonfler, déformant son ...