1. Un rendez-vous chez le dentiste


    Datte: 10/02/2019, Catégories: fplusag, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, extraconj,

    ... spectacle qu’elle lui offrait. — Alors on y va, dit-elle quand il fut au volant ? En même temps, elle se laissa glisser dans son siège, ce qui eut pour effet de remonter encore sa robe. Elle exhiba alors sans complexe ses cuisses largement découvertes, ce qui ravit Antoine. Il s’enhardit même à lui dire : — Vous êtes… très belle, Pascale.— Merci, lui répondit-elle avec un petit sourire mutin. Comme la semaine passée, ils discutèrent durant le trajet, continuant à faire connaissance et comme la semaine passée, ce fut surtout elle qui le questionna. — Comment s’appelle votre femme, lui demanda-t-elle à brûle-pourpoint ?— Carole. Pourquoi ?— Comme ça… Est-elle blonde ou brune ?— Elle est brune, avec les cheveux plutôt courts.— Et elle est jolie ?— Oui. Très jolie. Mais pourquoi vous me demandez tout ça ?— Ah, vous avez de la chance, répondit-elle. Elle hésita un moment, puis lui déclara dans un souffle : — Ah, vous avez bien de la chance… Mon mari et moi, ça doit faire plusieurs mois, peut-être plus d’un an qu’on n’a pas fait l’amour. Elle se tourna vers Antoine et continua sans le moindre scrupule : — Car figurez-vous que mon mari n’est plus capable de bander… Sans Viagra, plus de bonhomme ! Antoine n’en crut pas ses oreilles et se mit même à rougir. La crudité des propos de madame N. le stupéfia au plus haut point. Cette jolie bourgeoise, qui continuait à exhiber ostensiblement ses jolies cuisses, avait épousé un vieux sans vraiment l’assumer. Cependant, tout ce déballage ...
    ... intime commençait aussi à l’amuser. Devant madame N., il feignait la compassion, mais au fond de lui-même il se réjouissait d’apprendre que son boss, ce type qui terrorisait tout le personnel au bureau, était impuissant à la maison !… Une « petite bite », se dit-il ! Il en rigola intérieurement. Puis, gêné, mais tâchant de garder son sérieux, il parvint à enchaîner : — Je suis désolé…— Oh, ne le soyez pas, allons.— Vous devez être une femme bien malheureuse, madame N.— Oui, ça vous pouvez le dire, reprit-elle. Je suis encore dans la force de l’âge, je me sens encore jeune et… tout cela me pèse… Mais rassurez-vous, je n’ai pas toujours été fidèle à mon mari dans le passé et je n’ai pas l’intention de l’être plus dans l’avenir. Puis elle continua : — Mais parlons plutôt de vous, Antoine. Vous me disiez que votre épouse est brune et très jolie ?— Oui, en effet.— Et j’imagine qu’avec un bel homme comme vous… vous faites souvent l’amour. Antoine, surpris par l’aplomb de son interlocutrice, hésita avant de répondre. — Euh… Oui … assez souvent. Mais vous me gênez madame, reprit-il. Mais Pascale entendait bien profiter du trouble du jeune homme pour entretenir cette chaude atmosphère. Elle continua : — A-t-elle d’aussi belles jambes que moi ? La voiture étant arrêtée à un feu rouge, Antoine se tourna vers sa passagère et constata que, des deux mains, elle maintenait sa robe largement relevée, découvrant le haut des bas, le porte-jarretelles et la peau blanche de ses cuisses. En même ...
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