Un rendez-vous chez le dentiste
Datte: 10/02/2019,
Catégories:
fplusag,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
pénétratio,
extraconj,
... tout au moins au début. C’était la première fois qu’il bandait dans un magasin. Mais plus il regardait Pascale onduler devant lui, et plus il sentait son pénis prendre du volume et ça n’allait pas tarder à devenir gênant. Il jeta un coup d’œil à son pantalon et constata qu’une bosse était déjà bien visible. Alors, il essaya de distraire son attention en regardant ailleurs. Il faut que j’arrête de mater le cul de cette salope, se dit-il, sinon je ne vais pas tarder à bander comme un étalon en plein supermarché ! De retour à la voiture, ils chargèrent le coffre du cabriolet, puis Pascale ramena le Caddie. Quand elle revint, Antoine, en chauffeur stylé, lui tenait la portière. Elle le gratifia d’un sourire et, en s’installant sur son siège, elle remonta imperceptiblement sa jupe, ce qui n’échappa pas à Antoine. Durant le trajet de retour, cette jupe légèrement remontée attira obsessionnellement son regard. Cependant, ils continuèrent à discuter de choses et d’autres comme de vieux amis qui se connaissent de longue date. En fait Pascale se sentait de plus en plus d’atomes crochus avec lui ; elle fut même prise tout à coup d’une furieuse envie de flirter comme une adolescente. Jamais elle ne s’était sentie aussi jeune. Du calme, se dit-elle encore. C’est un gamin ! Arrivés à la maison, Antoine l’aida à décharger la voiture. Quand tout fut fini, elle le remercia : — Merci, Antoine, pour le service que vous m’avez rendu. Et votre compagnie m’a été très agréable. Elle lui fit un ...
... grand sourire et lui tendit la main. — Au revoir et peut-être à mercredi prochain.— Au revoir madame N.— Pascale ! murmura-t-elle. De nouveau seul au volant de son Berlingo, Antoine ne cessait de penser à cette matinée passée avec cette femme qui l’avait littéralement envoûté.Cette jolie petite salope n’a pas cessé de m’aguicher, pensa-t-il.Si ça continue comme ça, mercredi prochain sera chaud ! Rentré au bureau, il fonça aux toilettes et s’y enferma pour se masturber. Il revoyait les belles jambes de Pascale, son petit cul onduler devant lui. Il n’en pouvait plus. Il fallait qu’il exulte au plus vite. Le soir venu, madame N. demanda à son mari si elle pourrait encore bénéficier du « chauffeur de la boîte » pour son prochain rendez-vous. Monsieur N. grogna un peu, mais accepta : — Mais tu ne le mobiliseras pas une heure. J’ai besoin de lui pour un chantier. Les cinq jours suivants parurent très longs à Pascale. Seule dans sa grande maison, elle ne pensait qu’à ce beau jeune homme, n’attendant plus qu’une chose : le mercredi suivant. Plus rien d’autre ne comptait. Elle se prépara longtemps à l’avance, se demandant surtout comment elle allait s’habiller. Elle voulait le séduire, mais sans ostentation : être séductrice, mais sans paraître putain. Elle hésita longtemps sur la robe qu’elle mettrait. Finalement elle opta pour une petite robe d’été rouge, assez ample et remontant légèrement au-dessus du genou, et qui, largement décolletée, lui laisserait les épaules et le dos nus. Elle ...