Un rendez-vous chez le dentiste
Datte: 10/02/2019,
Catégories:
fplusag,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
pénétratio,
extraconj,
... l’essaya, se regardant dans la glace afin de juger de l’opportunité d’une telle tenue pour une séance chez son dentiste ? Il aura une superbe vue sur mon décolleté. Il va sûrement se rincer l’œil, ce vieux cochon, se dit-elle !Mais qu’importe. Par ailleurs, avec cette robe très décolletée, qui mettait bien en valeur ses seins, impossible de mettre un soutien-gorge. Hésitant encore longtemps, elle se dit finalement que ça irait. Il faut se donner les moyens de séduire, alors va pour cette robe ! Puis, fouillant dans son armoire, elle retrouva un porte-jarretelles noir qu’elle avait acheté il y a bien longtemps, du temps où son mari, encore amoureux, aimait qu’elle portât ce genre d’accessoire. Elle enfila des bas, passa le porte-jarretelles et y fixa les bas. Enfin, elle passa un string rouge, puis elle souleva la robe pour juger de l’effet produit, se tournant d’un côté, puis de l’autre : elle se trouva extrêmement sexy. Une vraie femme fatale ! Antoine, lui aussi, trouva la semaine longue. Cette femme occupait ses pensées de manière de plus en plus obsessionnelle, ce qui eut bientôt quelques conséquences sur sa vie intime. Un soir, alors que son épouse et lui venaient de se coucher, en mal d’amour elle lui saisit la verge et commença à la masturber. Rapidement, il se mit à bander, mais il se surprit soudain à imaginer que cette douce caresse était due à la main de Pascale. Saisi d’un terrible sentiment de culpabilité, il se montra plus aimant pour son épouse, l’embrassant, ...
... lui prodiguant mille tendresses et tâchant de chasser l’image de l’autre. Mais l’ultime moment de la pénétration venu, l’image lui revint à nouveau ; il revit le petit cul de Pascale onduler devant lui et ce n’était plus sa femme qu’il pénétrait de sa verge tendue à l’extrême, mais la belle Pascale, se qui précipita d’autant plus son orgasme. Mercredi Le mercredi enfin venu, Antoine roulait dans son Berlingo le cœur en joie à l’idée de revoir la jolie bourgeoise. Il faisait beau, plus chaud même que le vendredi précédent. Arrivé devant la propriété, il sonna et entendit la douce voix de Pascale. — C’est Antoine, s’annonça-t-il.— J’ouvre la grille et je vous attends. Il gara le Berlingo devant le perron et en gravit lestement les quelques marches. En haut, madame N. lui tendit la main en souriant. — Comment allez-vous, demanda-t-elle ? Il ne put répondre tout de suite. Hypnotisé par le charme qui se dégageait de cette femme diabolique ; son regard ne pouvait quitter ce décolleté profond qui laissait deviner une poitrine avantageuse. Elle se dit à ce moment-là qu’elle avait fait le bon choix.Le poisson est ferré, pensa-t-elle ! — Euh… oui, ça va bien, finit-il par répondre.— Je suis prête. Quand vous voudrez… Vous êtes d’accord pour qu’on reprenne ma voiture ? Et comment ! Comme d’habitude, il lui tint la portière, mais cette fois, à son grand étonnement, elle ne prit aucune précaution en s’installant et sa robe légère et ample remonta généreusement. Antoine ne manqua rien du ...