1. Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps


    Datte: 11/02/2019, Catégories: fh, amour, volupté, intermast, Oral pénétratio, mélo,

    ... daim ! dit-elle en riant. C’était à la mode il y a quelque temps. De toute façon elles ne montent pas au-dessus des genoux.— C’était une mode faite pour les femmes ayant de belles jambes ! Cela devait être très beau sur vous.— Oui, peut être, mais difficile à porter. C’était juste pour sortir, pas question d’aller au travail comme ça.— Si vous étiez ma secrétaire, je ne vous l’interdirais pas.— J’imagine, surtout avec une mini. N’est-ce pas ? Vous, les hommes, vous êtes tous les mêmes, dit-elle en riant.— Ma foi, pourquoi se priver de ce qui est beau ?— Je le prends comme un compliment.— C’en est un. Aline sentait son cœur battre de plus en plus vite, de plus en plus fort. Nicolas leur resservit un peu de vin. — Voulez-vous trinquer à nouveau ?— En l’honneur de qui cette fois-ci ?— De nous deux. J’aimerais que nous nous revoyions souvent. Serons-nous amis ?— Pourquoi pas, laissons faire les choses et le temps.— À nous.— À nous. Ils quittèrent le restaurant et firent quelques pas dans un petit chemin. La nuit était douce et tiède. — Je me sens bien avec vous. J’aimerais tant retarder le moment de vous ramener chez vous.— Je sais Nicolas. Moi non plus, je n’ai pas envie de rentrer. Pourtant il va falloir y penser. Demain sera vite là et il me faudra aller travailler.— Hélas. Je vais être raisonnable et vous ramener chez vous.— Merci de ne pas chercher à me retenir.— Vous sentez-vous si faible que vous ayez peur de succomber ?— C’est un peu cela. N’en profitez pas, je vous en ...
    ... prie. Il la prit par les épaules, la fit tourner vers lui, et leurs regards s’accrochèrent. Elle frissonna au contact des mains qui la tenaient. — C’est grave ce que vous venez de dire Aline.— Je sais. Laissez-moi un peu de temps. J’ai besoin de réaliser ce qui m’arrive.— Prenez le temps qu’il vous faudra, je vous attends.— Rentrons voulez-vous, dit-elle en se dégageant à regrets. Nicolas passa son bras sur son épaule et serra Aline contre lui. Elle hésita puis entoura sa taille à son tour. Ainsi enlacés, ils revinrent vers la voiture. — Moi aussi Nicolas, je suis bien avec vous. J’aimerai tant retarder le moment de vous quitter. Il la prit dans ses bras, la serra contre lui. Ils s’embrassèrent. Ce fut un baiser tout à la fois timide, tendre, passionné. Lorsque leurs lèvres se séparèrent, il voulu dire quelque chose. Elle lui posa un doigt sur la bouche. — Chut, ne dis rien. Plus tard. Prenons le temps.— Tu as raison dit-il. Il l’embrassa sur le front, à la limite des cheveux. Ils s’installèrent dans la voiture, puis quittèrent le parking du restaurant. Nicolas conduisait lentement. La lueur des phares se reflétait faiblement dans l’habitacle, il se tournait fréquemment vers elle. — Ne nous met pas dans le fossé, dit-elle en souriant et en se tournant vers lui. Je croirais que tu l’as fait exprès pour ne pas me ramener. Elle pivota sur son siège, ramenant une jambe sous elle, pour mieux le regarder. Elle posa sa main sur la cuisse de Nicolas. Elle sentit sous ses doigts les ...
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