1. Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps


    Datte: 11/02/2019, Catégories: fh, amour, volupté, intermast, Oral pénétratio, mélo,

    ... muscles tressaillir. Elle ne bougea plus. Sa tête se posa sur l’épaule de son compagnon. Elle abandonnait la lutte. Il gara la voiture devant le portail, la prit dans ses bras et l’embrassa pour la seconde fois de la soirée. — Tu descends quand tu veux, dit-il, mais n’attends pas que je te chasse. Elle ne répondit pas, blottie dans ses bras, elle savourait le moment. La chaleur du corps de Nicolas se communiquait à son corps. Elle se sentait bien, très bien. Pourtant elle se dégagea, descendit de la voiture, et au lieu de se diriger vers le portail elle revint vers la porte du conducteur et l’ouvrit. — Viens, dit-elle en lui tendant la main. Maintenant. Je ne veux pas que tu partes. Nicolas descendit à son tour, ferma le véhicule. Elle ne l’avait pas lâché. Ils traversèrent le jardin main dans la main. Elle ouvrit la maison, referma la porte derrière eux. S’appuyant contre le mur, elle lui offrit ses lèvres. Il la prit dans ses bras, la serra contre lui et l’embrassa. Quelques minutes plus tard elle le reprit par la main, et, sans allumer aucune lampe, le guida jusqu’à sa chambre. Ils n’avaient pas parlé depuis la rue. Ils s’embrassèrent à nouveau ; tendre au début, leur étreinte devenait plus forte. Il avait forcé le barrage des lèvres avec sa langue et fouillait la bouche offerte. Ses mains se promenaient sur le corps d’Aline qui n’opposait aucune résistance. Elle se donnait, se laissait conquérir, elle désirait être vaincue et prise, comme une ville par l’envahisseur. ...
    ... Nicolas réussit à lui enlever son chemisier, puis défit le pantalon. Elle était debout face à lui, son slip et son soutien-gorge de coton blanc faisant deux taches claires dans l’obscurité. — Déshabille-toi et viens, dit-elle en entrant dans le lit. Quelques secondes plus tard ils étaient allongés côte à côte. Il tendit le bras à la rencontre de la peau nue de la jeune femme, trouva un bras. Ils s’approchèrent l’un de l’autre. Leurs corps se trouvèrent, lui complètement nu, son sexe dressé, palpitant. Elle encore protégée par ses deux barrières de coton. Elle sentit le membre, qui bientôt la pénétrerai, toucher son ventre. Qu’il lui semblait fort et puissant ! Elle entoura le cou de son compagnon avec ses bras. — Finis de me déshabiller et caresse-moi, lui chuchota-t-elle à l’oreille. Avec d’infinies précautions, sans se presser, laissant ses mains errer sur la peau nue de la jeune femme, Nicolas entreprit de faire tomber les deux derniers remparts. Celui du haut lui résista un peu. Ses doigts fébriles ne trouvaient pas les agrafes. — Eh bien, jeune homme, on manque d’expérience ? lui demanda-t-elle ironique et amusée par la situation. Elle ne bougea pas d’un pouce, sensible à ces doigts qui courraient dans son dos. Quand ils parvinrent à leur fin elle bascula sur le dos pour offrir ses seins. Il enleva le soutien-gorge, le jeta hors du lit, et ses mains partirent à la découverte de ce corps inconnu. Des épaules il descendit lentement le long des flancs d’Aline, évitant dans un ...
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