Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps
Datte: 11/02/2019,
Catégories:
fh,
amour,
volupté,
intermast,
Oral
pénétratio,
mélo,
... premier temps sa poitrine. Les mains se réunirent sur le ventre puis remontèrent ensemble vers les seins tendus. Elle se cambra pour les offrir encore plus aux caresses. Il prit les deux belles poires dans ses mains qui les flattèrent, les caressèrent, les modelèrent. Les deux aréoles se contractèrent, les mamelons s’érigèrent. Elle avait le souffle de plus en plus court. Les mains abandonnèrent un moment ses seins pour redescendre vers le ventre plat. Elles rencontrèrent la ceinture du slip, s’infiltrèrent dessous. Le bassin de la jeune femme se souleva pour aider le dernier obstacle à tomber. Bientôt elle fut nue. Aline ne voulait pas être en reste. Sa main gauche sur l’épaule de Nicolas, elle caressait son torse de la main droite. Elle aussi partait à la découverte. Bientôt elle trouva la barre de chair témoignant du désir de son compagnon. Elle referma la main autour, et commença un lent mouvement de va-et-vient. Elle embrassa les lèvres de son ami, et descendit lentement le long du corps musclé. De ses seins puis de la bouche elle caressait l’homme qui partageait sa couche. Ses lèvres rencontrèrent le sexe tendu. Tout d’abord timide, le baiser se fit petit à petit plus insistant. La langue s’insinua le long du chanfrein, tandis que les mains d’Aline décalottaient le membre tendu. Elle le tenait comme un sucre d’orge de bon format et s’en régalait comme une petite fille le ferait d’une sucrerie. Sa langue agile enveloppait le gland gonflé, sa bouche avide suçait, pompait ...
... comme pour en extraire déjà le suc savoureux. Elle alternait les caresses douces avec les agressions de ses dents, mordillant le membre qui en devenait douloureux de désir et de plaisirs inassouvis. Nicolas la saisit aux aisselles et la remonta vers lui. Il l’embrassa et à nouveau sa langue passa la porte des lèvres et des dents d’Aline. Pendant ce temps de ses mains il repartait à la conquête du corps offert. Les seins, le ventre reçurent des caresses. Puis ce fut le tour du dos, des reins, des fesses. Celles-ci ne s’ouvrirent pas, obligeant Nicolas à remonter aux hanches, et à redescendre le long du ventre jusqu’à la toison de feu. Comme par miracle les longues cuisses s’écartèrent, laissant libre l’accès au sexe humide de désir. — Comme ton corps est doux lui murmura-t-il à l’oreille.— Tout comme tes mains. Ils sont faits pour s’entendre. Étendue sur le dos elle recevait les caresses de Nicolas. Il s’aventura le long du pinceau de fourrure, découvrit du bout des doigts le sexe nu, les lèvres à peine saillantes, le capuchon du clitoris. Il le pinça délicatement entre pouce et index, faisant rouler la petite tige gonflée de plaisir entre ses doigts et déclenchant chez sa compagne une série de plaintes allant crescendo. Aline se laissait aller à son plaisir. Le souffle court, elle sentait chaque parcelle de son corps réagir aux caresses de son amant. Elle tenait dans sa main le sceptre tendu qu’elle n’aurait voulu lâcher pour rien au monde. Sentant monter en elle les prémices ...