Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps
Datte: 11/02/2019,
Catégories:
fh,
amour,
volupté,
intermast,
Oral
pénétratio,
mélo,
... de sa jouissance elle l’attira sur elle, entre ses jambes largement ouvertes, puis le guida jusqu’au bord de son sexe. Là elle utilisa le membre turgescent pour se caresser un peu, le faisant pénétrer petit à petit en elle. — Viens, va au fond de moi, je te veux tout entier, souffla-t-elle. Tandis qu’il la pénétrait doucement mais inexorablement, elle posa ses mains sur les fesses de Nicolas, appuyant dessus pour confirmer son invitation. Ils trouvèrent tout de suite le bon rythme, celui où leurs deux corps allaient à la rencontre l’un de l’autre, lent et puissant, tendre et sauvage à la fois. Leurs mouvements s’accélérèrent, la rencontre de leurs deux ventres se fit chaque fois plus violente. Leurs bouches soudées, souffles mêlés, ils jouirent ensemble. Leurs cris résonnèrent dans la pièce, fondus, mêlés comme l’étaient leurs corps. De ses jambes elle emprisonnait le bassin de son amant, l’empêchant de se retirer si des fois il en avait eu envie. Les corps s’apaisèrent, les souffles reprirent de l’ampleur. — Tu es merveilleux, je crois que je t’aime, lui glissa-t-elle à l’oreille.— Je suis sûr que je t’aime, répondit-il.— Reste en moi, bouge encore, j’aime te sentir. Il fit ce qu’elle demandait. Doucement, comme une caresse prolongée. Elle gémit encore un petit peu, son ventre se contractait, serrant le membre qui la pénétrait, augmentant encore les sensations qu’elle ressentait. Elle le libéra à regret, vivant son retrait comme un arrachement. — Tu reviendras en moi, ...
... dis-moi. Promet. Elle le suppliait presque, comme une petite fille à qui on aurait pris son jouet.— Bien sûr, ce fut tellement bon.— Reste dormir ici, il est trop tard pour que tu partes.— Et si quelqu’un voit ma voiture ? Que fais tu de ta réputation ?— M’en fiche. Reste. Suis heureuse. Ils plongèrent dans un sommeil réparateur, dont seule la sonnerie insistante du réveil les tira au matin. 11 Elle arriva à l’agence, salua Pierre qui avait ouvert, s’occupa du courrier. Vers dix heures, elle proposa un café à son patron. — Bien volontiers, répondit-il. Ils buvaient le breuvage odorant lorsque Mireille fit une apparition par la porte arrière. — Mireille ! Comment vas-tu ? demanda Aline.— Bien, en pleine forme. Je peux en prendre ? dit-elle en montrant la cafetière.— Bien sûr, répondit Pierre, Aline vient juste de le faire. Tu n’as pas encore ouvert ?— Si, mais je m’accorde quelques minutes, comme vous. Je venais voir si Aline voulait venir avec moi ce soir. Je voudrais faire quelques courses et je n’ai pas envie d’y aller seule.— Bien sûr. À quelle heure veux-tu partir ?— Vers dix huit heures. Ça ira ?— Si mon patron accepte…— Je vais réfléchir, dit Pierre en fronçant les sourcils, on en reparle à midi.— Si tu lui dis non, je te la débauche. Elle viendra travailler avec moi à la pharmacie.— Bon, bon. Si le syndicat parle je n’ai plus qu’à obtempérer.— Merci mon grand, nous te ramènerons une petite surprise. Sur ces mots Mireille posa sa tasse et sortit de l’agence. Dans l’après-midi ...