1. Les sabots de Val


    Datte: 12/02/2019, Catégories: h, hh, cérébral, miroir, pied, chaussures, hféminisé, Oral fantastiqu, Masturbation

    ... une dernière fois sa chance dans une boutique plus ancienne qui vendait différentes paires de sandales plus classiques. Bien sûr, il n’y croyait pas, mais il donna toutefois sa description à la vendeuse, une femme plus âgée qui avait dû connaître les années septante ou quatre-vingt, et qui sans doute en avait porté durant sa jeunesse. Mais la vieille se moqua littéralement de lui, lui expliquant qu’on ne faisait pas de sandales en bois car le bois était trop lourd à porter pour marcher. Elle aurait dû expliquer cela aux générations de paysans européens qui pendant des siècles avaient marché en sabots de bois bien plus lourds que le modèle qu’il recherchait. Elle aurait pu aussi prendre un verre le soir en terrasse et observer ces filles se déhanchant, en jupe ou pantalon de jean, faisant claquer leurs talons de bois sur les pavés de la grand’ place. Mais Valéry s’abstint d’insister et battit en retraite, comprenant qu’il était inutile de discuter. Il ne lui restait plus qu’une alternative : Swift, et tant pis pour les suspicions des vendeuses… Ça devait faire la troisième fois qu’il repassait devant le magasin ; la vendeuse avait dû surprendre son manège car elle sourit lorsqu’après quelques hésitations il se décida à entrer. Il fut soulagé sur le moment de voir qu’il ne s’agissait pas de la même vendeuse que lors de son dernier achat quelque temps plus tôt. Sa copine avait craqué sur cette paire de sandales, en avait-elle encore en 38 ? Oui, Béné chaussait du 38. Non, ...
    ... malheureusement, disait la vendeuse, une brune aux cheveux courts, portant des lunettes et qui faisait environ sa taille. Elle n’en avait plus que pour des grands pieds, du 39, 40, 41, voire 42. La jeune femme lui affirma que les fabricants italiens taillaient petit, et qu’un 39 de chez eux correspondait souvent à un 38 de chez nous. Valéry ne croyait pas trop à son histoire de taille plus petite, son but à elle était de vendre. Si par hasard sa copine n’était pas satisfaite mais qu’elle acceptait le cadeau pour ne pas mettre son copain mal à l’aise, la paire serait écoulée. Dans le pire des cas, s’il fallait changer de taille, elle lui ferait un bon d’achat pour une autre paire de chaussures. Quelle importance qu’elles soient moches et qu’elles ne plaisent pas à la fille ? Dans le meilleur des cas, il s’agissait d’un fétichiste qui les achetait pour lui, et là il n’y aurait aucun souci à se faire… Les fétichistes ne rapportaient pas, et même ne portaient pas les chaussures qu’ils achetaient, elle savait par expérience qu’ils se contentaient de se masturber et d’éjaculer dedans. Ils auraient été mal à l’aise de rendre une paire de sandales avec le dessus ou les brides couverts de taches de sperme. En aucun cas l’échange n’aurait lieu, et il était facile de les dissuader en faisant semblant de se questionner sur l’origine de ces étranges taches qui faisaient briller le cuir à certains endroits… Valéry était loin de ces considérations, il observait les chaussures. Il s’agissait d’une ...
«1234...8»