1. Un été caniculaire 2


    Datte: 13/02/2019, Catégories: ffh, Oral pénétratio,

    ... petit cul, ma belle, susurra-t-elle. Elle s’accroupit, nue, et vint glisser sa langue entre les deux hémisphères de ma chérie. — Oui… lèche-la bien… Je déposai de petits baisers le long de son dos, puis me mis à lui sucer les mamelons. Les yeux clos, Nivea gémit, pressa ma tête contre sa poitrine. — Oh oui, gémit-elle, embrasse-moi les seins. Je sortis mon sexe d’une main. Nadia stoppa son anulingus pour se l’enfoncer dans la bouche. Me mordant les lèvres, je l’observai avaler ma queue, la lécher, la sucer, la téter. — Oh… Nadia… quelle pipe… hmmm ! Elle glissa sa langue le long de mes couilles, puis me relâcha pour se remettre au travail sur le cul de Nivea qui haletait, à présent. Je suçai un de mes doigts et le glissai dans son petit trou. Elle frémit, le corps vibrant de plaisir. Je la soulevai et l’installai assise sur le lavabo, jambes écartées. — Oh oui baise-moi fort ! me supplia-t-elle. Nadia se mit à lui sucer et lui embrasser les seins. Délicatement, ma copine écarta les deux lèvres de son sexe et me jeta un regard de défi. Je m’enfonçai en elle et lui donnai de grands coups de reins, ivre de plaisir, ma queue allant et venant dans son vagin humide et trempé. Nadia passa derrière moi et me caressa les couilles. — Hmm… mon bébé tu as les couilles toutes gonflées… pleines de jus… hmm… elle a de la chance tu va lui en mettre plein la moule ! Quelques secondes plus tard, incapable de me retenir plus longtemps, le cœur tel un marteau piqueur dans ma poitrine, je ...
    ... ressortis de Nivea et jouis violemment, arrosant son ventre de longues giclées de sperme qui m’arrachèrent des hurlements de jouissance. 14h56. Nous étions allongés tous les trois sur notre lit ; les filles en culottes et soutifs, et moi en caleçon ; dans une douce torpeur sous la chaleur et le plaisir. — On s’amuse bien, hein ? fit Nadia.— Ouais, dis-je. On est bien là. Le ventilateur tournait, nous rafraîchissait. Les volets mi-clos laissaient entrer le soleil à petites doses. Nivea était blottie contre moi, je la serrais tendrement dans mes bras. Nadia, à côté, lui caressait doucement le dos, repue. — Tiens, j’ai rencontré Djamila en achetant les boissons.— C’est qui ? m’interrogea Nadia.— Une copine, répondit Nivea. Et juste une copine, fit-elle en se redressant pour me jeter un regard noir.— Ouais, juste une copine ! fis-je. J’ai deux femmes sur les bras, pas trois !— Ouais, ouais, je t’ai à l’œil ! Elle se pencha pour m’embrasser. Timidement, je lançai : — Je l’ai invitée en boîte avec nous, ce soir. Nadia haussa les épaules. Nivea avait l’air de faire la gueule. Je la pris dans mes bras. — Cela te dérange ?— Bof.— Sûre ?— Mouais… Je me rallongeai et tirai les draps du lit pour nous recouvrir. J’étais exténué. — Nadia, tu mets le réveil pour cinq heures et demie ?— Ok. Nivea vint se blottir contre moi, sa poitrine s’écrasant sur la mienne. Même si ce contact était particulièrement stimulant, j’étais trop épuisé pour entreprendre quoi que ce soit ; même s’il est vrai, j’avais ...
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