1. Acte 1


    Datte: 13/02/2019, Catégories: fh, théatre,

    ... petit cul, d’une blancheur exquise et d’une fermeté agréable. Je passe sous silence toutes les autres beautés de votre corps. Immanquablement on pourrait vous prendre pour modèle afin de rédiger les plus aimables blasons, comme l’ont fait bon nombre des meilleurs poètes. LOUISE DU BOIS – Sauf peut être celui du con de la pucelle mon ami. MARQUIS DE SAINT-AUBIN – Certes, celui-ci se laissant aimablement visiter tant par ma main que par mon sexe. UNE VOIX DERRIÈRE LA PORTE – Laissez-moi passer, en tant qu’ami du Marquis, sa chambre m’est ouverte… MARQUIS DE SAINT-AUBIN – Lorsqu’on parle du loup… Voilà le Chevalier ! LOUISE DU BOIS – Mon Dieu, mon mari ! Moi qui suis nue dans ce lit avec vous. MARQUIS DE SAINT-AUBIN – Ne bougez pas et surtout ne dites rien, pas un mot, je vous en conjure, sinon votre mari vous reconnaîtra. Le marquis recouvre la tête de Louise du Bois d’un drap, laissant son corps intégralement nu, alors même que la porte s’ouvre et que le Chevalier du Bois entre dans la chambre. Scène 2 : Marquis de Saint-Aubin – Louise du Bois (la tête dissimulée sous un drap) – Le Chevalier du Bois MARQUIS DE SAINT-AUBIN – Bonjour Chevalier ! CHEVALIER DU BOIS – Oh excusez-moi, vous étiez en charmante compagnie… Je me retire. MARQUIS DE SAINT-AUBIN – Que nenni, que nenni, venez donc voir le trésor qui a accompagné ma nuit et qui a chassé Morphée. Vous êtes céans, et vous ne resterez pas sans voir, approchez vous donc. CHEVALIER DU BOIS (gêné, tout à la fois hésitant et ...
    ... intéressé) – C’est que j’interromps peut être… MARQUIS DE SAINT-AUBIN – Ne vous inquiétez pas mon ami, j’avais fini l’essentiel. Je ne faisais que flatter de la main cette chair offerte. Je dois vous avouer que j’ai passé une excellente nuit en fort bonne compagnie. Mais constatez par vous-même. Voyez donc cette beauté, chevalier. Cette gorge aux jolies formes qui donne naissance à ces seins blancs comme l’ivoire, voyez comme ils sont ronds, comme ils sont rebondis. Ils sont de formes parfaites et d’une fermeté irréprochable. Et leurs pointes charmantes, comme deux roses de ce matin décloses. (À part) Comme il ne l’a jamais vu nue, il ne sera même pas capable de la reconnaître. (Haut) Allez, ne soyez pas timide, touchez ces mamelles, mon amie ne sera pas sans apprécier quelques caresses supplémentaires, qu’elles viennent de vous où qu’elles viennent de moi, cela ne change rien. Le Chevalier du Bois approche la main de la poitrine de l’inconnue et touche le bout du sein, au contact elle frisonne, mais reste silencieuse. Il prend en main le sein, le soupèse, le caresse et en pince la pointe. MARQUIS DE SAINT-AUBIN – Alors qu’en pensez-vous mon ami, vous touchez, vous pelotez, mais vous ne dites pas un mot. Qu’en dites-vous ? CHEVALIER DU BOIS – Il est vrai que c’est doux. Une chair fraîche et ferme, je vois que vous avez bon goût mon ami. MARQUIS DE SAINT-AUBIN – Je ne peux me rassasier de caresser ses merveilleux tétins, avant, pendant et après avoir pris la belle. Je les baise ces ...
«1234...10»