1. NUS ET HEUREUX


    Datte: 22/06/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... renseignements sur les pistes cyclables du coin. Je la renseigne tout en contemplant son amie (short, tennis, marcel et appareil photo professionnel). Elle est assez jolie malgré sa stature plus massive que sa compagne. Elle est souple et tout en muscle. Sous ses cheveux noirs, deux grands yeux sombres en amande pétillent. Ils surmontent un nez un peu fort et une bouche étroite joliment dessinée. Sa peau mate et un léger accent trahissent ses origines maghrébines. Cela tranche avec la peau laiteuse et le parler pointu de l’autre femme. Elles s’éloignent pour aller photographier les mouettes qui pullulent sur le sable mouillé. Sans me soucier de leur regard, je me mets à nu, pose mes affaires sur le sable et j’avance tranquillement vers les vagues, non sans déranger quelques paisibles volatiles. L’eau me parait plus chaude que l’air au premier contact. Je m’avance en courant jusqu‘à ce qu’elle me couvre les épaules. Puis je me laisse porter. Le ressac est assez puissant et me ballotte tandis que le flot me fait dériver. Par instants, conscient de limites de mes rudiments de natation, je me remets debout sur le sable et marche à contre-courant pour éviter de m’éloigner de mon coin de plage. La mer devient moins violente lorsque, la marée montant, la baïne et le banc de sable disparaissent. Je me laisse bercer par le clapotis des vagues et reste ainsi à rêver et à profiter de ce chaud bouillon. Je me sens en sécurité comme un bébé dans son liquide amniotique. Régression ...
    ... sublime ! Longtemps « textile », je découvre les incroyables sensations de se baigner ainsi, totalement nu, absolument nu, délicieusement nu… Lorsque le soleil émerge enfin du ciel moutonnant, je remonte sur la plage et m’installe, écartelé sur une confortable natte de jonc. Une brise légère atténue la morsure du soleil. Je lui offre mon dos et mes fesses puis ma poitrine et mon sexe et m’endors ainsi. Douce torpeur ! Le temps passe. Je me réveille, conscient des risques que court ma peau ainsi exposée, et me retourne. Quelque chose m’empêche de m’endormir à nouveau. J’ai l’impression que l’on me contemple, me scrute et se repait de ma nudité. Je ne sais qui cela peut être et où se situe le voyeur. Je suppose qu’il s’agit d’un de ces « promeneurs des dunes », armé de ses jumelles ad hoc. Mal à l’aise, je me tourne à nouveau et me soulève sur les coudes. Quelle n’est pas ma surprise de constater que mes deux compagnes d’ascension de la dune sont allongées tout près de moi. Les cheveux blancs sont apparemment endormis tandis que les cheveux bruns me contemplent sans pudeur de leurs yeux sombres malicieusement plissés. Je crois même voir une petite langue rose passer sur des lèvres étroites... Elle est totalement nue, confortablement installée sur le flan. Elle est à la fois belle et massive : épaules carrées, seins opulents et fermes, hanches larges mettant en valeur un sexe totalement imberbe et finement ourlé, taille assez fine, cuisses larges, mollets et genoux élégants et bien ...