NUS ET HEUREUX
Datte: 22/06/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... dessinés, pieds charpentés. Son bassin bascule jusqu’à me faire deviner une voluptueuse chute de reins. Une vraie sportive bien faite. Je ne sais comment réagir, m’affole un peu devant tant d’audace et me rue, peu glorieusement, dans l’eau rassurante. Me voici caché de ces regards impudents. Je me laisse glisser dans la mer, porter par les vaguelettes qui l’agitent encore. Je suis à la fois gêné par ce que je viens de vivre et excité d’être ainsi provoqué par la jeune femme. Je manifeste cela par une demi-érection qui m’embarrasse. Alors que je commence à nouveau à me détendre et à savourer l’instant, quasi totalement immergé, j’entends un bruit de plongeon atténué et sens l’eau se déplacer plus violemment sur ma peau. Tout autour de moi, un tourbillon d’inégale intensité prend forme puis disparaît. Je reste ainsi, immobile, espérant un peu qu’une initiative vienne bousculer ma quiétude. Je n’ai pas longtemps à attendre. Alors que je reprends pied pour éviter de dériver, deux bras puissants me saisissent par la taille tandis qu’une bouche vorace avale mon sexe qui raidit hâtivement. La jeune sportive m’a abordé de face, totalement immergée et en apnée. Déséquilibré, je m’accroche à ses flancs, presque à ses seins, et nous tournoyons dans l’eau sans qu’elle ne me lâche. D’un coup de reins nous atteignons un haut fond sablonneux ou, à demi immergé, j’installe mon dos. Je lâche ses seins tandis qu’elle pivote, d’un mouvement souple sans quitter mon phallus. Son entrejambe ...
... béant vient solliciter ma bouche et ma langue se met en devoir de répondre vigoureusement à cet appel. Mes mains étreignent énergiquement ses fesses comme si elles voulaient les séparer. Sous l’eau, un doigt inquisiteur commence à me caresser l’anus puis progressivement s’y enfonce. Mon sexe frémit et, alors que sa bouche le quitte pour reprendre une goulée d’air, répand sa semence dans l’eau. Nous roulons à nouveau l’un sur l’autre. Lorsqu’elle cale ses fesses sur le banc de sable, mes lèvres se vissent aux siennes. Mes doigts prennent le relai de ma langue et, l’eau salée remplaçant avantageusement le lubrifiant, s’insèrent tranquillement dans tous les orifices de son entrecuisse et de ses fesses. Mon autre main commence à chahuter rapidement son clitoris érigé. Quelques dizaines de mouvements plus tard, tout son corps se met à vibrer et un râle profond sort de sa bouche. Nous restons là, à demi portés par l’eau, à nous caresser tendrement. Dieu que sa peau est douce ! Alors que je pense déjà à continuer l’exercice sur la terre ferme, un corps plus fluet vient se coller à ma hanche et une main osseuse s’empare délicatement de mon entrejambe. J’avais oublié « cheveux blancs », ses grands yeux bleus et son corps sans relief. C’est à peine si je sens ses petits seins contre mes côtes. Ma jeune amante, sans interrompre sa caresse, se glisse derrière elle pour la prendre en sandwich. Très vite, notre doyenne devient notre objet sexuel à tous deux. Nos langues se succèdent dans ses ...