Little bite man
Datte: 16/02/2019,
Catégories:
fh,
ff,
frousses,
Collègues / Travail
nympho,
danser,
vengeance,
jalousie,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
humour,
... comme une poupée de chiffon. Pas longtemps. Le phénix n’est pas le seul à savoir renaître, la luxure le sait aussi. Elle me repoussa. Elle s’assit d’abord sur le bord du lit, se mit debout pour écraser ses lèvres sur les miennes. Ensuite, sa bouche descendit vers ma poitrine, vers mon ventre, vers… À genoux sur la moquette, elle entreprit de me débarrasser de mon boxer. Sa main effleura d’abord la bosse qui le déformait. — Maintenant, je vais vérifier si ce que l’on a dit sur Little bite man est juste. Ma mentule affichait une éloquence qui l’enthousiasma. Elle s’empara de la chose, la tâta avec délicatesse et précaution, la soupesa : — Mais c’est magnifique ! Un vrai mât !— Pas étonnant : « À Beaumont-le-Vicomte »…— Mon ex racontait des conneries, t’as beau être propriétaire d’un 4x4, ici on est loin d’un bonzaï. J’espérais tant cela, en venant chez toi : retrouver la queue de mes rêves qui me permettait de m’évader lorsque ce salaud me limait. Oh, je ne résiste pas… Elle se pencha, embrassa l’objet du litige puis l’emboucha, en entreprenant de savants va-et-vient assortis d’ineffables caresses de sa langue. Peut-on faire rimer électricité et félicité ? Avec Sandra, oui. Je lui caressai les cheveux, la nuque et les épaules, j’accompagnais les mouvements de sa tête pour l’encourager, puis : — Tes lèvres sont un régal, Sandra, tu es une bonne suceuse. Mais je veux savoir si ma rouquine baise aussi bien qu’elle suce. Conséquence des dernières émotions que je venais de ...
... vivre, avec cette divine fellation j’avais senti monter dangereusement ma côte d’alerte. Et j’ai toujours eu le souci de ne pas décharger la charrette de foin devant la grange. Je la relevai, la jetai sans ménagement sur le lit. Femelle avertie et docile, elle ne marqua aucune surprise, aucune réticence, sachant ce qui l’attendait et le savourant d’avance. Soumise, elle ouvrit spontanément sa fourche. Je passai mes bras sous ses cuisses, m’abattis sur elle comme une brute en ramenant ses genoux contre ses épaules et la pénétrai à la hussarde, d’un violent coup de reins. Ses mains se crispèrent dans mon dos pour marquer le choc et ses ongles s’incrustèrent dans mon épiderme. Je n’en avais cure, j’étais comme fou, je la pilonnai avec une rage et une violence que je ne me connaissais pas. Par convoitise pour cette gamine perverse, mais aussi par délicieux esprit de vengeance. Dominer Sandra, l’écraser sous moi, en faire cette chose pantelante de plaisir, c’était tuer l’autre. Elle ne demandait d’ailleurs qu’à être complice du crime. Chaque coup de boutoir lui arrachait un cri. Je la maintenais avec une telle fermeté qu’elle restait clouée au matelas, repliée sur elle-même, à subir la bestialité de mon assaut. Un premier orgasme la submergea. Elle débita une suite confuse d’obscénités. Son orgasme ne m’arrêta pas, je continuais à la pilonner sans relâche et sans pitié. — C’est booon ! Je te sens bien… Oh ouii… encore… encore plus fort… défonce-moi, salaud… casse-moi la… Je me pus ...