Little bite man
Datte: 16/02/2019,
Catégories:
fh,
ff,
frousses,
Collègues / Travail
nympho,
danser,
vengeance,
jalousie,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
humour,
... m’empêcher : — C’est meilleur qu’avec ton ex, n’est-ce pas ? Dis-le !— Oui… ouiii… meilleur comme tout… toi tu baises…comme un dieu…— Et tu aimes la giclée ?— Oui la giclée… j’aime… la giclée… vas-y… maintenant…gicle-moi… remplis-moi… oui, oui, mais qu’est-ce que tu attends ! … J’en peux plus… je veux …Aaaah !… Un cri immense. Le bouquet final, l’explosion, le firmament. Je me déversai en elle à longs jets. Elle réagit avec une telle force qu’elle parvint à échapper de ma prise. Elle croisa tout de suite ses jambes dans mon dos et se souda contre moi pour quelques secondes d’éternité. Progressivement, elle revint sur terre et me fixa de ses yeux brillants : — J’ai jamais joui comme ça. Au paradis du plaisir, tu es le maître et je suis ta servante affamée. Une légende a été enterrée aujourd’hui :Little bite man a mouru. Et, mmmmpfff, elle m’embrassa avec reconnaissance. Puis… — Hé, mais qu’est-ce que tu fais ? Mais noooon … tu ne vas…? Oh non … aaahhh… Sans doute n’aurai-je plus dû, mais j’avais la conviction que mes munitions n’étaient pas totalement épuisées. Et ma petite rouquine à la peau laiteuse était si belle, si gourmande des malheurs de la vertu. Si j’avais su ce qui m’attendait ensuite, j’aurais eu encore plus de raisons de la chevaucher derechef. ooooo0000oooo Retour au salon, pardon, sur la terrasse attenante. La douceur de l’air, le gentil soleil de fin d’après-midi, l’ombre d’un parasol et deux verres de rosé. Nous étions douchés, rhabillés de frais. J’ai éclaté ...
... de rire lorsqu’elle m’a appris d’un ton serein et dans une formulation pleine de poésie s’être munie de vêtements de rechange car elle savait que les vannes de la félicité s’ouvraient chez elle sur l’abondance. La conversation reprit. J’ignorais que j’irais de surprise en surprise. — Tu m’as guérie d’une grosse plaie. C’était fabuleux ! Je sens que c’est encore une nouvelle vie qui s’ajoute à celle que j’ai entamée depuis mon retour.— Ah bon ? Explique-moi ça, petite vicieuse.— Je t’ai dit que je partageais un logement avec une colocataire.— Celle qui t’a ouvert les yeux sur « la vraie vie » ?— Oui. En fait, c’est plus qu’une colocataire, c’est ma compagne.— Hein, fis-je, abasourdi. Tu veux dire que…— Oui, t’as bien compris, je suis lesbienne. Mais je ne crache pas, à l’occasion, sur une bonne queue. Elle non plus, d’ailleurs. L’important est que nous soyons bien l’une avec l’autre, l’important c’est que nous nous aimions.— Mais depuis quand t’es-tu découverte lesbienne ?— Peu après l’avoir rencontrée, au retour de Madagascar. Je la connaissais un peu d’avant et n’aurais jamais imaginé à ce moment-là que nous étions destinées à vivre ensemble. J’avais le moral dans les chaussettes quand je l’ai retrouvée par hasard en ville. Elle m’a accueillie comme un pauvre petit chat abandonné et m’a sortie de ma détresse. Je n’aurai jamais assez de gratitude pour elle. J’ai immédiatement senti que j’avais trouvé une épaule amie sur laquelle il faisait bon se réfugier. Elle avait l’art de ...