1. Little bite man


    Datte: 16/02/2019, Catégories: fh, ff, frousses, Collègues / Travail nympho, danser, vengeance, jalousie, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, humour,

    ... ancestrales, et surtout à celle-ci, que je résumerais ainsi : l’adultère est dans le pré… Devant son air ahuri, J’enfonçai le clou avec délice : — Non, non ! Rien à voir avec une certaine émission de télévision où des étalons de tracteurs doivent choisir entre la Rosette, la Marguerite ou la Blanchette de monsieur Seguin. Par chez nous, c’est duspeedfucking. Même si monsieur le curé tait la chose, le Tout-Puissant, dans Son infinie sagesse nous encourage à pratiquer des entorses aux liens sacrés du mariage, car Il sait que cela élimine dans les couples bien des tensions issues des frustrations engendrées par la routine et que cela diminue la consommation de médicaments anxiogènes pour le plus grand bénéfice de la Sécu. Je vous recommande d’ailleurs cette saine pratique lorsque vous serez mariés. Là, je lui avais cloué le bec. Sa Bellâtritude, au fur et à mesure de mon développement, avait pâli, rougi, bleui et je craignis pour mes rideaux fraîchement lavés qu’il n’explosât. C’est vachement salissant, un bellâtre, quand ça explose. Il se tourna brusquement vers sa future en frappant du poing sur la table : — On s’en va ! J’en ai assez entendu. Monsieur, je ne suis pas ravi de vous avoir rencontré et je ne vous salue pas ! Merci pour l’adresse mais n’imaginez surtout pas que vous serez invités, vous et votre femme. Je ne répondis pas. Il entraîna Sandra vers la porte. Sur le seuil, elle tourna la tête vers moi et la dernière chose que je saisis d’elle, c’est un regard ...
    ... brillant de larmes contenues. Je me promis d’avoir une petite conversation avec la future mariée dès le lendemain. ooooo0000oooo Mais justement, le lendemain, pas de Sandra. Y avait-il en cela un lien avec le clash d’hier ? Vers 10 h, devant la machine à café, Latifa, la directrice générale et bras droit du Boss m’interpella. Latifa est une superbe plante nageant au milieu de la trentaine, célibataire convaincue, sans vie sexuelle connue (quel gâchis ! Vite : unspeedfucking !), cheville ouvrière de la maison et réputée pour son franc-parler. Elle m’informa, hilare, qu’un monsieur Espérandieu avait téléphoné il y une vingtaine de minutes pour informer que sa fiancée, mademoiselle Sandra, ne reviendrait plus travailler dans notre boîte pourrie car il était hors de question qu’elle continue à y côtoyer des gens malsains et pervers. — C’est une blague ?— Non ! Mais j’ai exigé et obtenu, non sans mal, d’avoir la petite Sandra au bout du fil. Elle m’a confirmé sa démission. J’ai eu l’impression qu’elle avait la voix un peu oppressée, mais je peux me tromper. À peine ai-je eu le temps de lui demander d’envoyer une lettre de démission que ça a raccroché. Je suis persuadée que son gars tirait les ficelles par derrière.— Des gens malsains et pervers ? Eh bé… Vous en faites partie, vous Latifa ? J’en fais partie, moi ? Pas possible ! Ah si, je verrais bien King-Kong, le concierge… Latifa éclata de rire. Je lui racontai ensuite l’incident du samedi. Elle fut abasourdie : — Chez vous, en toute ...
«1234...15»