1. Little bite man


    Datte: 16/02/2019, Catégories: fh, ff, frousses, Collègues / Travail nympho, danser, vengeance, jalousie, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, humour,

    ... impudence ? Bonjour le savoir-vivre ! Et il a bien dit « une petite bite » ?— Oui, il m’a jeté ça à la figure, mais je vous jure, Latifa, il ment ! C’est faux, archi-faux !— Je suis bien forcée de vous croire quoique, sur un sujet aussi particulier, je ne m’en tiens qu’à ce que je vois… rit-elle. En tout cas, il est gonflé, le gars.— Je la plains, notre Sandra, épouser un con pareil, ça ne va pas être de la tarte pour elle. Je pastiche Victor Hugo, dans laComplainte de la Nonne : « On voit des biches qui délaissent leurs beaux cerfs par des sangliers… » Et Latifa de compléter illico, sur la mélodie de Brassens : — « …Enfants voici les bœufs qui passent, cachez vos rouges tabliers ».— Eh bé, Latifa ! Vous m’en bouchez un coin ! Bravo !— Merci du compliment, mais cela n’efface pas un problème immédiat. Il va falloir trouver une remplaçante à la hauteur de Sandra, car elle faisait du très bon boulot. La suite fut assez folklorique. La remplaçante ne resta que trois mois puis disparut, elle aussi, du jour au lendemain en même temps que King-Kong, le concierge. On apprit par la suite qu’ils filaient le parfait amour et avaient repris une boulangerie située à une quarantaine de kilomètres d’ici. Les esprits facétieux imaginèrent qu’il avait dû lui montrer sa baguette. Ou la confondre avec un gratte-ciel. Inutile, également, de préciser que le jour des noces de Sandra, je ne me suis pas déplacé. D’ailleurs j’en aurais été bien en peine : il « phallussait » absolument prouver à ...
    ... Latifa, à la longue insistance de laquelle j’avais fini par céder immédiatement, que je ne mentais pas en ce qui concerne un détail précis « mais pas si tellement insignifiant » de mon anatomie. Cela me prit tout l’après-midi et me laissa sur les rotules. Ô Latifa, qu’est-ce que tu « gères » bien. J’ajoute qu’ensuite, au boulot, on s’est tutoyé, ce qui fit ricaner quelques crétins à l’esprit malveillant. ooooo0000oooo C’est un soir de juillet, l’année suivante, que je reçus chez moi un coup de fil qui me laissa pantois. — Bonsoir, je suis bien chez monsieur Christian Despierres ?— C’est lui-même, Madame, à qui ai-je l’honneur ?— Sandra, votre ancienne secrétaire. Vous vous souvenez de moi ?— Quoi ? Sandra ? Bien sûr que je me souviens de vous, et même très bien, il y a des gens et des circonstances qu’on n’oublie pas. Mais vous me téléphonez d’où ? De Madagascar ?— Non, de mon domicile, à 30 km de chez vous.— Mais… vous êtes donc revenue en France, votre mari aussi ?— Non, lui est resté à Madagascar. Nous nous sommes séparés et j’ai entamé une procédure de divorce.— Pardon ? Avec un catho pur jus, un divorce ? Mais vous étiez à peine mariés. Que s’est-il passé ?— Monsieur Despierres, ce serait trop long à raconter au téléphone. Est-ce que nous pourrions nous rencontrer ? J’ai des choses à vous dire et j’en ai même une à me faire pardonner.— À me raconter, j’imagine, mais à vous faire pardonner, là, je ne vois pas. Cela dit, ce sera avec plaisir. Voyons un peu mon agenda, est-ce ...
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