1. Little bite man


    Datte: 16/02/2019, Catégories: fh, ff, frousses, Collègues / Travail nympho, danser, vengeance, jalousie, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, humour,

    ... mais pour évacuer une bonne fois pour toute la honte que j’ai ressentie ce jour-là.— Tu es tout excusée. N’empêche que, si l’on y réfléchit bien, nous avons été victimes d’une accusation fallacieuse et qu’il est impossible de gommer. Alors si déjà… Elle se figea, me regardant droit dans les yeux : — Si déjà quoi ?— Euh… Si on ne peut pas l’effacer, autant se mettre en conformité avec elle…— Répète-moi ça autrement !— Puisque les mots crus ne t’effraient plus : autant baiser pour de vrai et rattraper le temps perdu.— Yééouiiiiii ! Explosion ! Je sursautai. Elle bondit de sa chaise, en poussant des cris de joie, contourna la table, se précipita sur moi, saisit ma tête avec ses mains« mon Dieu qu’elle sentait bon ! » et, avant d’écraser ses lèvres sur les miennes, l’aveu incendiaire : — C’est aussi pour ça que j’étais venue ! Sous mon crâne, la tempête. Le Ciel et tous les Anges me tombaient dessus en même temps. Débordé, je parai au plus pressé : lui rendre son baiser, faire mienne sa bouche pulpeuse. Découverte des langues, elles s’affrontèrent, se dégustèrent, s’entourniquotèrent. Sandra s’assit sur mes genoux, bousculant au passage la table avec sa hanche et passa son bras droit derrière mon cou, le visage toujours collé au mien, sa main gauche tirant ma tête vers elle. Je n’ai pas réfléchi à ce qu’il convenait de faire, c’est venu spontanément : passer ma dextre sous sa jupe et remonter vers son entrejambe par une lente caresse entre les cuisses, à même sa peau de rousse ...
    ... au grain si soyeux. Elle tressaillit lorsque j’empaumai son fruit, le pressant et le malaxant avec ardeur. Sensations ineffables de charnu, de bombé, de chaleur et de moiteur, agrémentés d’une légère fragrance acide. Elle gémit et abandonna ma bouche pour mieux s’étaler et se laisser couler, le pubis à la rencontre de la main qui l’entreprenait. Elle gardait les yeux clos et la bouche entrouverte ; sa main délaissa ma joue se posa sur le dos de la mienne pour appuyer avec une énergie insoupçonnée. Elle fut parcourue de frémissements et sa respiration sifflante s’accentua. À travers l’étoffe humide de son sous-vêtement, je coinçai son bouton pour le rouler entre ses chairs. Ses gémissements montèrent d’un cran lorsque j’accélérai la caresse et, brusquement, elle se tétanisa, bloqua l’étau de ses cuisses. Les yeux exorbités, elle rejeta la tête en arrière en poussant une plainte aigue. Elle se relâcha petit-à-petit, me sourit, m’octroya une bise délicate avant d’avouer : — Je n’ai jamais joui aussi vite ! Tu es extraordinaire !— Arrête, j’ai les chevilles qui enflent. Gardes-en pour la suite, on n’a pas fini.— Vraiment ? dit-elle le regard émerveillé.— Debout ma belle ! La suite, c’est par ici…— J’ai peur de la suite, serre-moi contre toi pour me protéger. Je l’embrassai dans le cou puis m’écartai d’elle. Mes deux mains se posèrent sur sa poitrine qu’elle bomba spontanément. Je les lui pétris les seins, mes pouces caressèrent à travers le tissu les mamelons qui durcirent. À ...
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