Little bite man
Datte: 16/02/2019,
Catégories:
fh,
ff,
frousses,
Collègues / Travail
nympho,
danser,
vengeance,
jalousie,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
humour,
... vraiment tout ce que tu as comme souci ? Tu te tracasses pour peu de chose. Mais puisque tu en reparles, j’en profite : pour quelle raison s’est-il comporté ainsi ? J’y ai souvent réfléchi et j’en suis réduit à formuler une hypothèse mais je ne dispose d’aucun élément pour l’étayer. Ce n’était pas de la jalousie, par hasard ?— Tu es très perspicace, Christian : oui, c’était de la jalousie.— Jaloux, mais pourquoi ? Je ne vois rien dans mon comportement ni dans le tien qui aurait pu la susciter. Ou alors… : tu lui parlais du boulot ?— Oui, je lui racontais souvent ma journée de travail.— Donc, tu lui parlais aussi de moi ?— Oui.— Et trop souvent à son goût ?— Oui, c’est cela, il me l’a plusieurs fois reproché. À la fin, je t’ai exclu de toutes nos conversations.— Ce qui n’a fait que renforcer sa suspicion ?— Oui.— Pauvre abruti. Il t’a bassinée longtemps, sur ce sujet-là ?— C’était encore pire à Madagascar. Il était persuadé que nous avions couché ensemble, cela tournait à l’obsession. Quand il me mettait sa queue dans la chatte, il me disait, avec une délicatesse exquise : « Ça, c’est autre chose, hein, que celle de Little bite man ! ». Cet idiot n’a jamais compris que cela déclenchait en moi un effet pervers, à contre-courant. Ta seule évocation suffisait à me faire frémir, m’agiter en tous sens et mouiller à mort. Et lui croyait que mon excitation était due à ses mérites. La réalité c’est que je devais dans ma tête, à ces moments-là, baiser avec un autre, ma seule façon de ...
... le fuir. Que ta modestie n’en souffre pas : n’importe quel autre homme aurait fait l’affaire, mais puisqu’il focalisait sur toi, eh bien, je faisais pareil avec, je t’en fais l’aveu, beaucoup de plaisir. J’ajoute qu’au boulot, je peux te le dire à présent, quand tu te penchais par-dessus mon épaule, tu m’avais fait à plusieurs reprises flipper – oh, disons-le : mouiller - sans même que tu t’en rendes compte.— Quoi ? Mais bon sang, pourquoi ne m’en as-tu pas parlé, à ce moment-là ? Je t’aurais fait fête !— T’es fou ? Réfléchis ! Tu imagines la petite employée subalterne oser aborder un tel sujet avec l’ingénieur en chef ? J’aurais craint de prendre la porte dans le quart d’heure qui suit.— Oui, je comprends ta retenue. N’empêche que si j’avais su, tu n’aurais pas pris la porte, c’est moi qui t’aurais prise. Elle éclata de rire. — C’est lorsque j’ai entendu lors de la visite chez toi ton discours sur l’adultère que j’ai réalisé l’occasion splendide que j’avais loupée. Et le lendemain, plus possible…— Tu aurais sauté le pas malgré la proximité du mariage ?— Sans scrupule. Le sexe n’a rien à voir avec le mariage et cela n’aurait altéré d’aucune façon mes sentiments pour le futur marié.— Tu regrettes vraiment d’avoir loupé le coche ?— Oui, et si tu savais combien de fois, à Madagascar, j’ai baisé avec toi et combien de fois tu m’as fait jouir.— Très honoré, dis-je en riant, mais par pitié, tais-toi, ou je ne réponds plus de rien.— Rassure-toi, je ne suis pas venue pour te violer ...