1. L e rocher des amants


    Datte: 16/02/2019, Catégories: Anal Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... réincarnation de cette personne. J'observais cependant qu’elle était moins sotte et vulgaire que l'original. Pour le reste par un singulier décret du Destin, elle avait à peu près les mêmes mœurs. Je veux dire qu’elle aussi ne dédaignait pas de se foutre à poil pour peu qu'il fit chaud. A la plage elle faisait cela à l’écart et derrière un rocher. Chez mon oncle c'était derrière une tonnelle. N'empêche il y avait mille façons de la mater et de pouvoir s'en astiquer. Son mari l'en plaisantait et elle rétorquait la mine malicieuse ; « Si cela fait plaisir à ces messieurs ! »J'appris peu à peu qu’elle allait plus loin et nombre d'hommes pouvaient se targuer d'avoir bénéficié de ses largesses. On pouvait compter au nombre de ceux-là mon oncle. Je ne m'en ouvris jamais à lui. Il aurait cru manquer aux règles de l’hospitalité. Il ne fallait de loin ou de près ne dire jamais de mal de ses amis. Tout au plus concédait-il que Thérèse _ car tel était son prénom _ avait une sensualité affirmée voire revendiquée. En cela il entendait particulièrement qu’elle avait un bon coup de fourchette et ne crachait pas sur la dive bouteille. D’ailleurs de boire la rendait plus lascive.Par contre mes cousins me lâchèrent sans vergogne le morceau. C'était une salope. Elle aimait la queue. Eux-mêmes se vantèrent d'en avoir disposé ce que je ne voulus croire. Les ados ont le sait sont facilement hâbleurs. Comme de bien entendu le mari ne semblait rien voir. Les dieux semblaient en la circonstance le ...
    ... frapper opportunément d'une cécité. Je crois en fait qu'il aimait sa femme et lui savait ce vice si nécessaire au fonctionnement du bonheur. Les cousins devant tout mon déni voulurent m'offrir telle une petite démonstration. Ce fut à la plage peu loin d 'un rocher.La plage était peu accessible. Qui plus est elle était emplie de cailloux ce qui était rédhibitoire à nombre de touristes. On y parvenait cependant par des chemins escarpés. L'un d'eux menait à un surplomb donnant juste derrière notre fameux rocher. Il fallait cependant des jumelles pour mieux voir. Nanti de cet instrument nous nous installâmes ce jour-là. Au départ je ne vis que Thérèse effectivement toute nue allongée sur sa longue serviette. Les cousins se délectaient et gloussaient tandis qu'ils se repassaient les jumelles. Je dus de mauvaise grâce examiner aussi par ce biais.Ils virent mon embarras et s'en moquèrent. Ils me traitèrent bientôt de puritain et de puceau. J’étais offusqué, humilié tant de leur vulgarité étalée que de ma propre hypocrisie à réfuter en moi les mêmes vices. Disons que j'éprouvais honte à partager avec d'autres mes goûts de voyeur. Il était évident que je me fus branlé sûrement devant cette chair insolente offerte si j’avais été seul. Cependant il m'avait emmené là pour une autre raison. Nous attendîmes moins d'une heure. Je mis un temps à reconnaître en l'ombre qui avançait sur le sable, Armand, garagiste et ami de mon oncle.C'était un type assez taciturne qui était malheureux en son ...
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