Pappy bi nostalgie
Datte: 17/02/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... tapis. Et si... Tout a commencé par de courtes allusions, du genre "ah, je n'aurais vraiment pas aimé être à la place de cette pauvre fille!", ce qui en clair voulait dire "je meurs d'envie d'essayer pour voir comment ça fait". Ou bien "quand-même, le mec du film y est allé un peu fort, tu ne trouves pas?" ce qu'il fallait traduire par "tu n'aimerais pas que j'y aille un peu fort aussi avec toi?". De silences en non-dits, il devenait évident que nous étions tous les deux secrètement obsédés par cette histoire de sodomie, mais aucun n'avait le cran d'en parler ouvertement. Branler et sucer sont des choses relativement simples à faire entre copains, pour se faire du bien, mais il y avait là un saut dans l'inconnu, une intimité difficile à admettre entre deux garçons qui se défendaient de tout penchant homosexuel. La curiosité et l'envie l'ont finalement emporté sur le socialement correct et nous avons décidé de faire un essais, chacun notre tour, juste pour voir. Nous n'étions pas des "pédés" (sic) mais nous ne voulions pas non plus mourir idiots et s'il y a tant de gens pour le faire, après tout, peut-être que ce n'est pas si mal. Bien sûr, aucun de nous deux ne voulait reconnaître ce désir qui loge au plus profond de tout mâle, cette féminité enfouie au point d'être étouffée, qui pousse un homme à abandonner son corps à un autre au point de le laisser pénétrer son cul. "Juste pour voir... On n'est pas des pédés!" "Pile c'est moi l'homme et face c'est toi!" Pile! Je n'ai ...
... jamais eu de chance au jeu. Pour commencer, j'aurais préféré le rôle du mec, pour voir la réaction de mon copain avant d'y passer moi-même. Mais bon, le sort en était jeté. Tout nu, je m'allongeai à plat-ventre sur le lit, dans la position où Maria Schneider était prise par Marlon Brando. J'écartai légèrement les cuisses et je cambrai les reins pour offrir à mon pote le meilleurs accès à ma petite porte, pendant que lui sortait la motte de beurre du frigo et commençait à m'en tartouiller généreusement la raie. La douce sensation de fraîcheur me détendit un peu, mais je m'apprétais à passer un sale quart-d'heure, à l'image de l'actrice dont j'avais encore les larmes en mémoire. Je m'apprétais aussi à vivre un tournant dans ma vie affective, car je désirai très sincèrement ce corps souple et gracieux, dont le prolongement raide et dressé vers le ciel faisait l'objet de mon admiration. Il serait bientôt planté au plus profond de moi et j'allais l'aimer bien mieux que les quelques chattes où il s'était déjà trempé. L'idée ne s'imposait pas encore franchement dans mon esprit, mais c'était écrit dans mon subconscient: j'allais aimer la bite. L'assaut fut difficile et douloureux. Mon copain était parti bille en tête pour entrer dans mon cul comme dans le sexe mouillé d'une fille bien excitée, ce qui était l'erreur à ne pas commettre, en dépit du beurre. Je le lui fis comprendre immédiatement à grands cris. Plus il mettait d'ardeur à tenter de forcer mon trou et plus je me contractais, ...