Pappy bi nostalgie
Datte: 17/02/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... anticipant la douleur. Il faisait chaud, nous étions en sueur et l'odeur du beurre flottait dans la pièce, une peu écœurante. Découragés et pratiquement au bord de l'abandon, nous avons fini par trouver une position plus adaptée, moi à genoux au dessus de lui. Ainsi, je pouvais contrôler la pénétration et mon anus, endolori mais aussi un peu élargi par les essais précédents, finit par accepter l'intrusion. J'avais la respiration coupée, le cœur au bord des lèvres sous l'effet de l'écartellement de mes chair, alors que je me laissais descendre, centimètre après centimètre, le long du membre de mon partenaire. Il me semblait démesurément gros et je me sentis comme empalé sur un pieu quand enfin mes fesses touchèrent ses cuisses, signe que tout était finalement entré en moi. J'avais encore un peu mal, mais la sensation dominante était une jouissance, une exultation d'avoir enfin réalisé ce rêve refoulé depuis des semaines. J'étais réellement enculé et fier d'en avoir eu le courage. Mon copain avait l'air complètement perdu. Allongé sur le dos, les yeux mi-clos, il passait sa main entre mes fesses pour palper de ses doigts une scène qu'il ne pouvait pas voir et qu'il avait encore du mal à croire réelle, celle de sa bite complètement enfichée dans mon cul, ne laissant dépasser qu'à peine un centimètre au dessus de ses couilles. Sans nous donner le mot, nous restions tous deux immobiles, chacun perdu dans un tsunami de sensations nouvelles, que nous avions peine à dissocier. ...
... C'est moi qui rompis le charme en commençant à bouger. J''entamai un mouvement de va-et vient, d'abord-très lent et très court, puis de plus en plus rapide et ample à mesure que ma douleur laissait la place à une douce langueur. Mon copain respirait très fort et gémissait à la mesure de mes aller-retours. Je pouvais lire ses émotions sur son visage et je me hasardai à quelques mouvements de torsion et de rotation du bassin, accompagnés de gémissements encore plus intenses, presque des supplications. Fatigué, je me penchai sur son torse et forçai ses lèvres de ma langue pour y chercher la sienne. Ce mouvement fit remonter mes fesses et ressortir la bite, qui s'échappa de mon rectum avec un joli bruit de ventouse. D'une main preste, mon copain chercha mon anus et de l'autre y replanta son membre beurré en soulevant son bassin. C'est lui maintenant qui me baisait par petits coups, puis de plus en plus énergiquement à mesure que son plaisir montait. J'étais aux anges, sa bite dans mon cul, sa langue dans ma bouche où nos salives se mélangeaient. Je n'avais plus mal du tout et je serais bien resté ainsi des heures, mais l'appel de la nature était à l'œuvre et mon enculeur manifestait tous les signes d'un orgasme en approche. Et quel orgasme, les enfants! Il s'était arrêté de bouger, sa queue plantée en moi jusqu'à la garde, presque à en faire mal, et je sentais les spasmes de sa verge pendant que ses couilles se contractaient en cadence, comme s'il y pompait la semence qu'il allait ...