Solange et Cécile - Chapitre I
Datte: 17/02/2019,
Catégories:
ff,
fff,
fplusag,
essayage,
BDSM / Fétichisme
lavement,
fouetfesse,
init,
bellemere,
... notre hôtesse tandis que Françoise me relève la jupe : — Oh la jolie culotte ! Ça ne vient pas de chez toi, ça, Geneviève ?— Eh oui ! N’est-ce pas que c’est bien porté ? Voulez-vous voir ce qui se cache là-dessous ?— Oh oui ! s’écrient-elles toutes deux. Je suis morte de honte, tandis que Françoise baisse tout doucement ce rempart de ma pudeur. Geneviève se fait un plaisir de me caresser les fesses avec délicatesse et force commentaires : — Mon dieu que c’est mignon le derrière d’une jeune fille en fleur ! Dire que nous l’avons eu comme cela, il y a quelques années… Et les deux autres copines de s’extasier, elles aussi : — Que c’est rond, que c’est blanc ! Allons-nous lui laisser ce teint de lys encore longtemps ?— Non, dit Geneviève, il faut tout de même que Cécile sache de quoi il est question. Et elle me claque chaque fesse assez sèchement. Françoise se lève, s’accroupit devant mon postérieur et me fesse à son tour. Alice, qui n’y tient plus, vient elle aussi m’appliquer deux bonnes claques. Mes protestations gémissantes ne semblent pas ralentir leur ardeur car la fessée tournante se perpétue, avec une Geneviève qui claque toujours plus sèchement et les deux autres qui tiennent à ne pas être en reste. En peu de temps j’ai le derrière brûlant et les larmes me viennent. Les trois copines sont maintenant ...
... passées à quatre claques chacune, et de plus en plus cuisantes. Puis la fessée s’arrête, je sens une main partie en exploration entre mes cuisses et la voix de Françoise : — C’est bon ! Elle apprécie… On m’applique encore une douzaine de claques, puis, alors que je sanglote, Geneviève dit : — Alice, s’il te plaît, veux-tu aller chercher la crème ? Puis sa main revient mais cette fois c’est une longue caresse qui estompe la brûlure de mon pauvre derrière. Après avoir flatté chacun de mes globes, la main s’est insinuée vers ma vulve et caresse doucement, longuement, jusqu’à ce qu’un orgasme violent m’emporte. J’entends aussitôt les trois grâces : — Ah ! Voilà ! À la bonne heure ! Elle sait maintenant où ça mène, une petite fessée ! Puis une main compatissante me passe une crème rafraîchissante sur les fesses. — Maintenant, ma chérie, à toi de te venger si tu le souhaites. Nous sommes toutes les trois prêtes à t’offrir nos fesses aussi longtemps que tu le voudras.— Geneviève, dis-je en reniflant, grimaçant en remontant ma culotte, je suis très troublée, trop secouée par votre « jeu », je n’ai pas la force de vous remercier, je vous demande de m’excuser, je vais regagner mes pénates. Et dans le silence général, je quitte les lieux et retourne chez Solange pour m’affaler sur mon lit et pleurer comme une madeleine.