1. L'expression de ses désirs.


    Datte: 17/02/2019, Catégories: fh, gros(ses), groscul, amour, volupté, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral

    ... paume : "et les miennes, de clés… j’vais p’t’être fermer ma porte, non ?" Sur le palier, après avoir donné deux tours à la serrure, je me dis que j’ai un peu froid au cul… juste avant de me cogner la tête contre la porte. Volontairement. "Ok, j’vais enfiler une culotte !" — Charlotte ? C’est ma voisine, Louise, une vieille dame charmante, mais que je n’aime pas particulièrement. Je ne sais pas pourquoi. Je me retourne pour lui faire face. — Tu vas bien, Charlotte ? Tu parles toute seule ! J’ai comme l’impression qu’elle a entendu ce que je viens de dire. Mais elle n’en laisse rien paraître. — Et puis, cette nuit, je t’ai entendu crier ! Ca m’a réveillé et j’ai eu peur pour toi. Et maintenant : le bouquet ! — Non, ne vous inquiétez pas. Je… me suis cogné l’orteil à un meuble. Je vois bien qu’elle n’est pas dupe. Mais, elle se montre très discrète, me fait juste un petit sourire… complice. Tout-à-coup, je décide que je l’aime beaucoup, finalement. Je lui fais une grosse bise sur la joue. — Merci, madame Martin (j’ai changé le nom, bien-sûr)… Il faut que j’y aille, à bientôt. Enfin bref. J’ai fini par dénicher une culotte pas trop ringarde dans ma commode et quatre minutes plus tard, je me retrouve plantée devant la porte de mon chéri, les clés à la main. J’ai un peu peur. Je ne suis jamais rentré chez lui en son absence. J’ai le cœur qui bât la chamade, mais je parviens, sans trop trembler à introduire la clé dans la serrure et à ouvrir la porte. Je suis déjà venue ici pour ...
    ... des soirées entre amis, alors, pourquoi ai-je aussi peur ? Et puis où est passée la fonceuse que rien n’effraie, hein ? Elle a été changée en petite fille craintive et timide ! Sur ma droite, en avançant dans le couloir, s’ouvre la porte de sa chambre. Il est là ! Nu. Il a rejeté le drap qui le recouvrait, on dirait. Comment peut-il être là ? Il est à peine 13h30 ! Normalement, il finit tous les jours à 15h ?! En vérité, je me fiche un peu de ce mystère… Un trouble immense s’est emparé de moi ! Il ne fait pas complètement sombre et ce que je vois a simultanément mit le feu à mon visage, accéléré encore les battements de mon cœur et asséché ma bouche. Oubliée, mon excitation de tout à l’heure ! Elle a été remplacée par une furieuse envie de me jeter sur lui. Mais, je ne peux pas. Il est épuisé, ça se voit. Ah, je suis dans de beaux draps, maintenant ! Je me traite encore de conne, dans ma tête, en me disant que j’aurais dû attendre qu’il soit réveillé pour venir l’importuner. Il est couché sur le dos. Un petit sourire illumine son visage. Un ange !… Ou peut-être le vois-je comme ça parce que je sais maintenant qu’il est un monstre de tendresse. Il vaut mieux que je m’arrache à ma contemplation, sinon je ne vais pas pouvoir tenir ! Plus loin, après le couloir on accède au salon. Je m’assois sur le canapé. Je ne sais pas quoi faire de mes mains, et je me rends compte que je tiens toujours ses clés et les miennes dans ma main gauche. D’habitude, se sont les poches de mes pantalons ...
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