1. L'expression de ses désirs.


    Datte: 17/02/2019, Catégories: fh, gros(ses), groscul, amour, volupté, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral

    ... dévoré ses mots ! Je l’ai relu… et relu encore. J’ai fais comme il m’a dit : j’ai fermé les yeux, invoqué son visage (ça n’a pas été bien difficile), et je l’ai revu me disant qu’il m’aimait, vous savez à la fin du premier épisode ?! "Putain de saleté de travail de merde !" "Comment j’vais pouvoir attendre jusqu’à ce soir ? j’vais devenir folle, oui !… ’Toute façon, j’le suis déjà !" Je me parle toute seule depuis tout à l’heure… et je ne suis pas sûre de ne pas avoir hurlé toutes ces injures ! "Bon, respire…" … "Mais, arrête de parler à voix haute, bordel !" De toute façon, je ne peux rien y changer. Voilà ce que je me dis. Pour m’occuper les mains et ne pas m’arracher les cheveux, je relis son petit mot. Je suis sûre que vous n’y lisez pas la même chose que moi ! Finalement, j’y trouve la force de surmonter le terrible manque que j’éprouve. Et je me rends compte que je suis à poil au milieu de mon salon ! Peut-être qu’une bonne douche me ferait du bien ? Je reste bien un quart d’heure dessous. J’enfile mon peignoir, enveloppe mes cheveux dans une petite serviette, façon "turban indou", m’assoie sur une chaise dans la cuisine et me prends la tête dans les mains. Je n’arrive pas à me sortir son image de l’esprit. Quand je ferme les yeux, c’est encore pire : net à en crier de vérité ! Mais, au fait, comment a-t-il fait, pour la fleur ? Le mot, je peux comprendre, il a pu l’écrire ici !… mais, la fleur ?… Et puis, c’est quoi ce sac en papier ? Des croissants ! Alors, là il est ...
    ... un peu "con-con" : je lui dis que je veux perdre des kilos et lui, il m’offre des croissants ! Tant pis, ça vient de lui alors je les mange quand même. Je me sens mieux après ça : je n’ai plus faim. Il faut que je me secoue. Je décide de ranger un peu, ça m’occupera. La vaisselle est vite expédiée, il est vrai qu’on n’a pas sali trop de chose cette nuit. Le tour de la cuisine est vite fait aussi. Des flashs de nos folies me reviennent et embrasent mon bas-ventre ! "Non, ne pense pas à ça !" J’entre dans le salon où trône en son centre… le clic-clac. Le duvet, dont il m’a recouverte, traîne à moitié par terre, et je peux voir à un certain endroit, une tache plus sombre sur la housse. Je sens mon cœur cogner violemment dans ma poitrine. Et mes tétons durcir. Je m’approche, m’assieds sur le clic-clac et tout de suite, l’odeur de ma mouille me saute au nez ! "Oh non, c’est pas possible… il faut que j’y aille !" Je fonce à mon armoire, attrape la première chose qui me tombe sous la main et l’enfile. C’est une robe. Je n’en mets jamais alors, pourquoi est-ce ça qui m’est tombé dessus ? Mystère ! Je décide de la garder quand même. Retour dans le salon. "Non, pas des baskets, connasse, pas avec une robe !" … "Bon, qu’est-ce que j’oublie encore ?… Ah oui, ses clés !" Elles sont dans un petit tiroir au bas de mon armoire. "Il ne sera sûrement pas rentré quand j’arriverai !" Devant la porte d’entrée, j’ai encore cette impression d’avoir oublié quelque chose. Je me frappe le front de ma ...
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