1. L'expression de ses désirs.


    Datte: 17/02/2019, Catégories: fh, gros(ses), groscul, amour, volupté, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral

    J’ai demandé de l’aide pour cet épisode… On ne peut pas tout savoir ! Tout de suite… La suite !… - - - - - - Charli, mon amour, Ca a été un vrai crève-cœur de devoir te laisser ! Tu connais mon travail et tu sais que ça ne serait pas prudent que je le fasse tout en dormant, n’est-ce pas ? Alors, je suis allé me reposer dans mon lit. Si j’avais tenté de dormir à côté de toi, je sais que je n’aurais pas dormi. J’aurais passé le reste de la nuit à admirer ton visage, à goûter ton souffle, à m’imprégner de ton odeur… mais je n’aurais sûrement pas dormi ! Tu sais que quand je ne blague pas je ne mens jamais, hein ?!… Alors, écoute, et imagine le son de ma voix, mets-y toute la sincérité du monde : JE T’AIME. Fred. P.S. : je te demande juste de me rejoindre ce soir, si tu le désires. Il faudra que je fasse une petite sieste cet après-midi. Quand je suis rentré chez moi, ce matin-là, je me suis déshabillé intégralement. Une horreur à l’intérieur de mon caleçon ! J’ai juste réparé les dégâts à cet endroit. J’avais soif, mais je n’ai pas bu : j’avais encore le goût de son intimité dans la bouche ! Je dormais déjà quand ma tête a touché mon oreiller. J’ai maudit mon réveil quand il m’a tiré de mon rêve. Mais, tout de suite après, je me suis dit que je la reverrai ce soir. Bonheur ! Pas très loin de chez moi, un boulanger où je vais tout le temps me servir m’a autorisé à passer par son fournil quand j’en aurais besoin. Je lui achète quatre croissants. En repartant, je croise sa femme ...
    ... qui prépare la boutique avant l’ouverture. Le regard qu’elle me lance quand elle répond à mon bonjour, je le verrai à d’autres moments de la journée sur d’autres personnes. Avant d’arriver chez Charlotte, j’ai cueillis une pensée dans un parterre municipal (mea-culpa !). J’ai laissé le mot sur la table de sa cuisine, sous un verre dans lequel j’ai mis la fleur. Je lui laisse les deux croissants que je n’ai pas mangés en venant, je sais qu’elle en raffole. Je repose sa clé où je l’avais prise. De toute façon, comme nous n’habitons pas très loin l’un de l’autre et que nous sommes (étions…) amis, nous avons échangé des doubles, au cas où… Je la retrouve presque dans la position dans laquelle je l’avais laissée. Ses longs cheveux recouvrent en partie son visage, mais je peux quand même voir un léger sourire sur ses lèvres entrouvertes. Je l’embrasse très légèrement, je ne veux surtout pas la réveiller. Au prix d’un TERRIBLE effort, j’arrive à ne pas répondre au désir qui s’est emparé de moi ! Au creux de son oreille, un murmure : — Je t’aime, Charlinette. Mon supérieur direct, dans la boîte où je travaille, a l’air de m’attendre quand j’arrive… avec un quart d’heure de retard. Je la vois dans une sorte de brouillard, ouvrir la bouche. Mais, elle ne dit rien. Juste : — Bonjour Fred. Elle a le même regard que ma boulangère. Elle me tend la main, comme tous les matins et je la lui caresse plus que je ne la serre. — Bonjour Odile. Je ne sais pas ce que j’ai fait ce matin-là. Mais, ...
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