Lettres d'une femme mariée - 5
Datte: 16/08/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
Collègues / Travail
nympho,
collection,
noculotte,
Masturbation
Oral
journal,
lettre,
extraconj,
... glisserais lentement mes mains dans tes cheveux… Mercredi 20 mai Mon mari chéri, J’ai eu la satisfaction que tu combles mon attente hier soir. Je revois encore ton expression attendrissante faite de surprise et de ravissement lorsque je t’ai exprimé mon désir que tu viennes entre mes cuisses pendant que je continuerais à manger. J’ai bien failli m’étouffer tant tu t’es montré efficace à flatter de ta langue si douce ma petite chatte affamée… bien davantage que je ne l’étais moi-même devant mon assiette. Mais, je m’étais dit ce jour-là que tu ne viendrais pas en moi… et j’ai savouré en même temps que mon dessert, celui que tu m’offrais de me faire accéder à la jouissance sans même avoir à me dévêtir… ni même avoir besoin de sortir de table ! Je t’ai ensuite embrassé longuement, et tu as pu goûter dans ma bouche la saveur de la chantilly et des fraises que je venais de déguster d’une façon si particulière ! Dans l’étreinte de nos langues enlacées qui se caressaient l’une l’autre, j’ai savouré un autre met de choix au goût tout aussi excitant et particulier fait de l’arôme de ma jouissance que tu avais englouti dans ta bouche gourmande avec délectation ! Je savais que la première rencontre seule à seul que j’aurais désormais avec Michel ne serait plus de même nature. Bien sûr, mon désir pour lui ne s’était pas amoindri, bien au contraire ! Mais je ne nous imaginais pas, nous sauter l’un sur l’autre, « forniquer comme des bêtes » comme si de rien n’était… Il était évident pour ...
... moi après toutes ses révélations, que nos rapports sexuels ne pouvaient se situer sur le même plan, au risque de se banaliser. Mais j’ignorais totalement la tournure qu’allaient prendre les événements. Je ne me sentais pas prête encore à prendre réellement l’initiative en ce domaine. J’étais donc suspendue une fois encore à l’expression de son désir… Et puis en même temps, j’avais un peu peur qu’il n’ait précisément plus de désir pour moi. Je craignais d’apparaître à ses yeux, désormais davantage comme une confidente que comme une maîtresse, davantage comme une mère que comme la femme que l’on désire. Quand je l’ai revu dans son bureau, c’est pour un instant me laisser aller à la vision fugitive d’images qui se bousculaient. Je n’observais plus cet endroit devenu familier avec le même regard. Le sous-main qui y était posé devant lui, le canapé, chacun des sièges qui se trouvaient dans la pièce, le tapis… bref chacun des écrins possibles aux ébats qu’il avait connu avec d’autres que moi, n’avaient plus la même neutralité que la veille… Mais rapidement, j’effaçais ces visions de ma pensée pour ne retenir que celle qui était devant moi. J’étais à nouveau seule avec l’homme que j’aime le plus au monde. Mais je ne savais pas désormais comment faire pour lui prouver combien je l’aimais. Aussi, lorsqu’il s’est adressé à moi pour exprimer un désir dans lequel je me trouvais pleinement impliquée, c’est un peu comme s’il m’avait lancé une bouée de sauvetage ! Et pourtant je n’avais pas ...