Lettres d'une femme mariée - 5
Datte: 16/08/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
Collègues / Travail
nympho,
collection,
noculotte,
Masturbation
Oral
journal,
lettre,
extraconj,
... caresse d’une brise légère tout en essayant de soutenir avec un certain détachement la conversation que j’avais avec elle. Ce léger souffle à la délicate fraîcheur, associé à la sensation de sentir sa main si douce contre ma peau, provoqua sur tout mon corps un frisson qui lui révélait ainsi le secret de mon émoi… Elle saisit cet instant où je me sentais si démunie pour susurrer à mon oreille ces quelques mots qui, bien des années après, réveillent en moi avec la perception retrouvée de sa chaude haleine contre mon oreille, une émotion si particulière : — Veux-tu venir avec moi dans ma chambre d’hôtel pour que nous passions un bon moment ensemble ? Je me souviens avoir bredouillé quelques mots confus, sur le fait que mes parents m’attendaient, ce qui était faux à cet instant… et qu’il fallait que je rentre rapidement. Je ne me rappelle plus trop comment je me suis retrouvée debout. Il me reste cette image de ma marche d’un pas soutenu de peur qu’elle me rattrape en courant ! Le soir-même, je n’ai pas pu m’endormir tout de suite. Si j’étais trop coincée alors pour envisager de me donner du plaisir en me caressant, c’est un peu comme si cette nuit-là avant de perdre conscience, j’avais ressenti la douce caresse invisible de sa main parcourir mon corps ! Je me suis laissée glisser cette nuit-là dans le sommeil avec une rare quiétude… Un pas supplémentaire avait été franchi l’année de mes dix-huit ans, alors que nous étions en camping et que j’avais partagé exceptionnellement ...
... ma couchette avec ma cousine Maud. Il faisait particulièrement chaud à cette période de l’année et c’est sans émotion particulière, étonnée que je ne fasse pas de même, qu’elle s’était totalement dénudée devant moi m’offrant le spectacle troublant d’une poitrine plus épanouie et ferme que la mienne à l’époque. Elle s’était ensuite glissée sans autre cérémonie sous ma couette, le plus naturellement du monde. Cette nuit-là, contrairement à elle qui m’avait dit avoir régulièrement eu l’expérience de la promiscuité… y compris avec ses cousins… je ne peux pas vraiment dire que j’aie bien dormi ! Sentir la présence chaleureuse de son corps à l’odeur sucrée-salée mêlant des effluves de crème solaire, de parfum « jeune » légèrement vanillé, de bains de mer et de transpiration… me distrayait délicieusement de toute envie de dormir… Mais que dire alors, quand elle s’est tournée et retournée dans ma couche pour poser sa main sur mon épaule et mettre son sein nu au contact du mien. Nos poitrines n’étaient plus séparées que par la fine étoffe de ma chemise de nuit ! J’ai senti alors le bout de mes jeunes seins durcir de façon évidente pour la première fois, et pour que tu perçoives bien mon chéri l’importance de cette première expérience, sache que c’est aussi la première fois que j’ai senti entre mes cuisses, cette douce chaleur humide qui n’était pas due à mon urine… Aussi, quand Michel m’a fait cette offre, nouvelle pour moi et totalement inattendue, de partager avec lui « ses plaisirs ...