Lettres d'une femme mariée - 5
Datte: 16/08/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
Collègues / Travail
nympho,
collection,
noculotte,
Masturbation
Oral
journal,
lettre,
extraconj,
... avec des femmes », sans même savoir l’aspect concret que cela pourrait prendre, j’ai ressenti à la fois de l’inquiétude, de l’envie et pour tout dire, une réelle excitation que je n’ai pas eu le courage sur le moment de lui révéler. Je l’ai seulement regardé avec ce sourire tout juste esquissé qui devait le rassurer, comme cela était devenu habituel entre nous, et qui était à lui seul une réponse… Cela lui a permis d’apporter plus de précisions sur ses intentions. — J’ai pensé que le plus naturel pour vous serait de participer à un de ces moments intimes que j’ai régulièrement avec Muriel… Qu’est-ce que vous en pensez ? Il ne pouvait pas réellement savoir ce que j’en pensais et, d’une certaine façon, je n’étais pas totalement décidée à le lui dire. Si comme je le croyais, Muriel avec gardé le secret sur l’amitié naissante que j’avais avec elle, il ne pouvait deviner à quel point il était rassurant pour moi de vivre cette première expérience avec ma jeune collègue plutôt qu’avec toute autre femme. Je me décidais à lui répondre d’un ton que je voulais assez neutre mais qui devait au moins trahir chez moi une certaine assurance. — Je ferai ce que vous désirez mon amour… mais est-ce que vous lui en avez parlé ?— Pas encore, mais je ne pense pas que cela posera de problème pour elle… Elle m’a souvent parlé de vous comme d’une femme qu’elle trouvait très séduisante… Elle m’a dit aussi, me comprendre dans le fait que j’ai avec vous une relation qui comptait par dessus tout… Un ...
... jour, elle m’a même avoué que si elle était un homme, c’est avec une femme comme vous qu’elle aurait envie de faire l’amour ! Je ne peux pas dire que j’étais insensible à de telles révélations, tout comme je ne peux pas dire que j’étais insensible à la beauté pleine de fraîcheur… si ce n’est d’innocence de Muriel, mais j’avoue aussi que je n’étais pas totalement rassurée sur la façon avec laquelle nous pourrions vivre une telle aventure. Le fait qu’elle soit devenue pour moi une amie ne faisait pas que simplifier les choses. Vivre avec elle et Michel une relation sensuelle, une relation sexuelle, s’était mêler, comme entrelacer plusieurs relations entre-elles, et j’avais un peu peur de ces divers rôles que nous jouions désormais les uns envers les autres. Nous étions de façon partielle ou entière et à des degrés divers nous trois, des collègues, des employées vis à vis d’un supérieur, des amantes à l’égard d’un seul homme, des confidentes, des amies… et c’est pour cela que j’ai éprouvé le besoin de lui demander cette faveur : — J’aimerais seulement que vous m’accordiez une chose, avant que cela n’arrive. Je souhaiterais pouvoir discuter avec elle en tête à tête. Il parut trouver cela tout à fait naturel et nous décidions le jour même que j’irais déjeuner le lendemain avec Muriel. Quand j’ai quitté cette dernière ce soir, alors qu’elle était aux côtés d’Andrew, elle m’a adressé un discret clin d’œil qui m’a aidé à me rassurer. Curieusement mon amour, en évoquant tous ces désirs ...