1. Ecole du sexe (19)


    Datte: 19/02/2019, Catégories: Hétéro

    ... tout le monde que la femme qui sommeille en toi est suffisamment forte pour faire face à la situation. -J’espère que tu as raison, dit-elle à mi-voix. -Bien sûr que j’ai raison. Allez, lève-toi et allons petit-déjeuner. Tu auras besoin de force pour tout à l’heure. Elle acquiesça faiblement et commença à quitter sa couche. Je l’y aidai en soulevant les couvertures lui obstruant les jambes, et lorsqu’elle fut debout, je la rejoignis en lui prenant la main. Elle serrait sa main dans la mienne afin de se rassurer, de constamment sentir ma présence. Je la regardai une dernière fois avant de commencer à marcher. Elle me suivit et nous nous rendîmes dans le réfectoire. Dix heures. L’heure fatidique était arrivée. Alice et moi attentions devant la porte de notre salle d’examen. Nous étions adossés contre le mur, main dans la main, attendant que quelqu’un daignât nous ouvrir la porte de l’autre côté. L’épreuve que nous allions passer était sans doute celle qu’Alice redoutait le plus : l’épreuve du bukkake. Bien qu’elle se fût entraîner durant l’année, elle n’avait jamais réussi à se sentir à l’aise et ne l’avait jamais fait avec plus de deux hommes en même temps. Là, il était question de beaucoup plus. Cinq, si l’on croyait les dires de nos camarades. Mais étant donné qu’à chaque fois qu’ils répondaient, ils regardaient Alice avec inquiétude, quelque chose me disait qu’il y en avait plus. -Bastien ? Tu te sens bien ? me demanda ma petite-amie. -Très bien, la rassurai-je. J’étais ...
    ... juste en train de réfléchir. -À propos de quoi ? -Tu le découvriras bien assez tôt. Elle fit une moue étrange mais hocha les épaules. Aussitôt après, nous entendîmes des bruits de pas provenant de la salle d’examen. La porte en bois peint s’ouvrit alors et un homme, barbu aux cheveux coupés très courts, nous accueillit. -Madame Grossun, monsieur Gépadidé ! Entrez, je vous prie. Nous ne vous avons pas trop fait attendre, j’espère. Nous lui assurâmes que non, souriant devant la gentillesse dont il faisait preuve à notre égard. Nous entrâmes alors dans la salle après qu’il nous y eût invités et nous découvrîmes le matériel à notre disposition. Sur une table en face du tableau servant normalement aux professeurs pour assurer leurs cours reposaient des menottes, un fouet, des cordes, un bâillon et autres instruments bien connus. Toutefois, en voyant ces accessoires, nous nous demandâmes si nous ne nous étions pas trompés dans notre planning. -Excusez-moi, intervins-je alors. N’étions-nous pas censés passer l’épreuve du bukkake ? -Vous n’avez pas été mis au courant, répondit notre examinateur, sincèrement surpris. -Mis au courant de quoi ? demanda Alice, perplexe. -Vous avez été dispensée de passer cette épreuve, jeune femme, lui sourit alors l’examinateur. J’ai reçu, deux jours auparavant, un mail de monsieur Auburn m’expliquant la terrible aventure que vous avez connue à cause d’une pratique très peu chaleureuse du bukkake. Votre proviseur a donc décidé de banaliser cette épreuve. ...
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