1. Ecole du sexe (19)


    Datte: 19/02/2019, Catégories: Hétéro

    ... douloureux d’avoir un rapport avec une femme avec une trace de morsure sur le sexe. Je supposai que oui, après tout les parois étaient serrées et l’humidité de l’endroit devait picoter légèrement. Je stoppai nette ma réflexion lorsqu’Alice me demanda si je voulais avoir une réponse empirique, le tout en me montrant ses dents. Nous discutâmes alors d’autre chose pendant une petite heure, c’est-à-dire jusqu’à ce que les premiers premières années à être passées revinrent dans la chambre. Je reconnaissais la plupart des visages, et la majorité d’entre eux était euphorique. -Alors, comment ça s’est passé ? leur demanda Alice en leur souriant. -Nickel, nous répondit le premier étudiant. On a fini avec l’épreuve du jeu de rôle, alors je peux te dire qu’on s’est éclaté, Ariel et moi. On l’avait bien préparé à l’avance, ce pseudo-western. Il nous décrivit alors ce qu’ils avaient fait tous les deux : comment il s’était déguisé en cow-boy et sa partenaire en indienne, comment ils avaient amené la scène où elle se faisait capturer au lasso, comment ils forniquaient sur le sol de la salle de classe. Il ne négligea aucun détail, même pas le petit pet qu’il n’avait pas pu retenir lorsqu’était venu le moment de la première pénétration. Nous rîmes bien de ce détail, et je pus remarquer que ce petit fou rire avait permis à nos camarades d’évacuer la pression des derniers jours. Nous attendîmes encore une dizaine de minutes avant de voir arriver Mylène, ma sœur, avec Romaric, son ...
    ... partenaire. -Ah, vous voilà enfin, lui dis-je alors lorsque je la vis arriver. -Excuse-nous, on était en examen d’amour sensuel, et Romaric a eu du mal à me faire jouir, alors il a fallu un peu plus de temps que prévu. Le concerné baissa un peu les yeux lorsque mon regard moqueur se posa sur lui. -Voyons, je t’avais pourtant dit qu’il suffit de mettre un doigt dans le cul de ma sœur pendant le coït pour qu’elle jouisse six fois par seconde. -Dans le feu de l’action, j’ai oublié, se défendit-il. Voyant que j’embêtais odieusement son partenaire, ma sœur prit sa défense en m’assurant que cela ne les empêcherait pas d’avoir leur examen. La connaissant, je n’en doutais pas une seule seconde. Lorsque, le lendemain, nous nous réveillâmes, personne ne pouvait prétendre ne pas être tendu ; aujourd’hui allaient être annoncés les résultats des examens. Alice et moi étions si angoissés que nous avions peiné, la nuit dernière, à fermer l’œil. Ce fut donc en bâillant excessivement fréquemment que nous ôtâmes les couvertures de nos lits. Le summum de la bizarrerie intervint lorsque je remarquai qu’Alice s’était levée du lit avant moi. Elle me le fit d’ailleurs remarquer, chose à laquelle je répondis en lui tirant la langue. -C’est quoi, ces manières ? me reprocha-t-elle. -Tu n’avais qu’à pas me narguer, rétorquai-je faiblement. -Peu importe, feinta-t-elle de s’énerver. Les seules fois où je veux voir cette langue sortie, c’est quand ta tête est entre mes jambes, ou alors sur mes seins. -Alors toi, ...
«1...3456»