L'ascenseur - renvoi
Datte: 22/02/2019,
Catégories:
ff,
ascenseur,
intermast,
Oral
fdanus,
... autre sur-le-champ, car Louise avait certes amené la main de son amie en direction de son sexe, mais dans le même mouvement avait isolé deux de ses doigts qu’elle avait introduits sans détour dans sa fente. Jamais mouvement n’avait été aussi fluide ; depuis la prise de la main alentour du nombril et jusqu’au fond du vagin brûlant où les doigts avaient pénétré, tout s’était écoulé dans une admirable limpidité. Au violent piaulement de Louise la femme ne put se contenir et quitta le miroir des yeux. Louise avait penché sa tête en arrière et ses cheveux tombaient en cascade. Elle offrait sa gorge, serrait le poignet de la femme. Celle-ci se demandait si un orgasme ne la traversait pas. Louise releva la tête. Ses yeux ! Impossible de savoir où ils regardaient — ils venaient d’un autre monde en tous cas. Elle revint pourtant à elle et enjoignit la femme à regarder son reflet et pas autre chose. À peine avait-elle obéi qu’elle sentit Louise serrer son poignet avec plus de force, le tirer et le repousser à nouveau dans sa fente. Instinctivement elle tendit les doigts. Louise la fit alors aller et venir en elle. Etreignant son poignet, elle faisait entrer et s’extraire les doigts tendus de sa vulve, vite, sans arrêt et disant que c’était délicieux. Mais on ne peut agir avec un membre vivant et attaché à un corps comme avec un objet inanimé. Aussi, pour rendre tout son pouvoir au bras, elle desserra son étreinte et passa sa main sous sa cuisse afin de tenir sa jambe en l’air et ...
... s’ouvrir davantage. Elle criait maintenant à son amie de continuer, d’aller plus vite, de la branler plus vivement — et celle-ci continuait, allait plus vite, branlait vivement, balbutiant des oui, oui, oui, à chaque demande de Louise. Et Louise atteint le sommet de l’orgasme lorsqu’elle sentit une langue s’insérer entre ses orteils, et les lécher dans l’ombre qu’ils formaient entre eux. La femme avait happé le bout de la jambe tenue en l’air et serrait maintenant le gros orteil dans sa bouche, car Louise bougeait trop dans la jouissance pour qu’on ait l’idée de laisser son pied si près du visage sans le contenir un peu. Puis les petits cris qu’elle poussa encore se firent de moins en moins hauts, son souffle revint. Elle tira sur sa cuisse et du bout de son pied couvert de salive se mit à caresser le bout de sein de la femme. Celle-ci était trempée à présent, demandait qu’on lui donne un orgasme à elle aussi. Elle avait eu du plaisir, rencontré des spasmes, mais voulait quelque chose de plus fort. Et Louise ne l’oubliait pas et continuait sa caresse sur le téton. Elle le captait entre deux orteils le tirait légèrement, les remuait afin qu’ils glissent autour de la pointe. Cela échappait : elle s’en saisissait à nouveau, et portait encore la pointe de son pied vers la source et l’imprégnait. La femme, que cela enflammait, lui offrait toute sa salive. Et le pied alors revenait se frotter au sein. Louise savait son amie friande de cette caresse, les seins étaient une des zones les ...