1. Dix-huit ans


    Datte: 16/08/2017, Catégories: ffh, jeunes, BDSM / Fétichisme entreseins, Oral pénétratio,

    Âgé aujourd’hui de trente et un ans, j’ai une vie sexuelle épanouie, avec toutefois une libido nettement supérieure à la moyenne. L’histoire que je m’apprête à vous confier remonte au lycée, plus précisément à l’époque où, âgé de dix-huit ans, j’étais en classe de terminale. Comme beaucoup de garçons de cet âge, je m’intéressais davantage aux filles qu’aux études. C’était le printemps. Dix-huit ans c’est l’âge du printemps, mai c’est le mois du printemps, je vous jure que dans ce ciel sans nuage quand je levais les yeux, quand je projetais loin mon regard, je ne concevais rien d’autre que ce merveilleux printemps. Une décennie et des étoiles plus tard, cette saison vit toujours dans mon ventre. Et je ne le nie pas. Je vous assure que lorsque le goût du printemps vous prend, et ça prend sans crier gare, ça prend comme une évidence, je vous assure, je vous assure, à moins d’un grand chamboulement, ça ne vous quitte pas. Je regardais dans la cour du lycée pendant la pause entre deux enseignements de physique-chimie, la passerelle du premier étage permettait une vue panoramique sur cet espace bordé de vieux platanes aux écorces qui déclinaient le gris, le vert, le marron, quand je vis passer un groupe de filles qui attira toute mon attention. Elles étaient quatre : Claire et Sophie, deux blondes assez bien foutues sur lesquelles couraient tout un tas de rumeurs - incluant la possibilité que leur amitié ne soit pas purement platonique…-, Florence, une jeune femme châtain, assez ...
    ... sérieuse, assez peu attirante, et enfin Laurence. Pour ne rien vous cacher, celle qui m’intéressait le plus était la jolie brunette, Laurence. Laissez-moi vous la décrire ce matin-là. Elle portait un pantalon « collant » beige pâle, qui serrait tellement ses jambes et son si beau postérieur qu’on avait quasiment l’impression qu’elle était nue. Ah ! si seulement ça avait été vrai, qu’elle fût nue, la peau et les muscles de ses fesses à portée de vue… Plus haut, un polo noir, moulant, faisait ressortir sa poitrine. Laurence avait été vraiment gâtée par la nature. J’ai toujours eu un faible pour ces femmes… comment dire… féminines ! Laurence continuait ainsi son petit bonhomme de chemin, traversant la cour, riant à gorge déployée, espérant sûrement qu’une dizaine de garçons la regarderaient et que leurs attributs se dresseraient dans leurs caleçons, qu’ils en souffriraient, seraient immédiatement obligés d’aller soulager cette pression dans les toilettes du lycée… Je pris mon courage à deux mains - à dix-huit ans, on appréhende pas mal encore les relations garçons-filles - et descendis vers elle. Pour tout vous dire, je la connaissais de vue, et par des amis en commun nous avions déjà échangé quelques mots, mais des banalités du genre « Bonjour », « Au revoir », « Il fait beau aujourd’hui », etc… M’approchant de Laurence, je lui dis : — Salut, Laurence ! Comment vas-tu ce matin ? Tu n’as pas trop froid comme ça ? Tu es vraiment ravissante en tout cas. La belle se mit à me sourire, ...
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