Dix-huit ans - Histoires de Sexe

Dix-huit ans

... plus que mon boxer, il me serrait dangereusement… Nathalie approcha sa bouche de mon oreille, et sur un ton ultra sensuel me demanda si j’acceptais qu’elle me suce, car cela faisait longtemps qu’elle n’avait rien donné en pâture à sa bouche, qu’elle adorait tailler des pipes, surtout aux garçons qui n’étaient pas insensibles à ses charmes. J’acquiesçai, à bout de forces et je le concède à bout de nerfs, Nathalie m’enleva délicatement mon boxer, révélant mon érection au grand jour. Elle approcha sa bouche de mon gland, se mit à le sucer, délicatement d’abord, puis gourmande, désireuse d’absorber dans sa bouche l’entièreté de mon membre, alternant déglutitions et coups de poignets pour masser ma bite qui ne demandait que ça. À ce rythme-là, je n’allais pas pouvoir tenir bien longtemps… Pendant ce temps, Laurence ne restait pas inactive : elle se doigtait depuis cinq bonnes minutes, elle jouissait fort, sa mouillure trempait sa culotte, elle criait, elle gémissait, elle ne retenait ni les cris, ni les râles ni les gémissements ni la mouillure, elle me mettait les sens à fleur de tout. Et je me demandai comment elle tenait encore debout. Effectivement d’un coup elle tituba et s’effondra. La vision de ma Laurence dans cet état orgasmique mêlée aux efforts de Nathalie me firent décharger à plusieurs reprises mon sperme dans la bouche de mon inconnue qui n’arrêtait pas de tout avaler. Elle se léchait les babines, insatiable. Une fois terminé mon nettoyage, Nathalie se tourna vers ...

... Laurence, elle enleva les chaussettes de la belle brune, son haut, titillant et mordillant les tétons, l’autre repartait dans une jouissance impressionnante. Nathalie me regarda et m’invita à enlever moi-même la culotte de Laurence. Je m’empressai d’exaucer son désir, et sitôt la culotte de Laurence entre mes mains, je la reniflai, ce qui m’excita encore plus, puis me mis à lui brouter sa belle chatte, ça sentait tellement bon. Laurence n’était manifestement pas insensible à ce traitement de faveur. Parfaitement consciente de l’état dans lequel j’étais. Non contente d’avoir joui la première, elle planta ses yeux bleus dans les miens et me dit : — Tu vois comment mes seins pointent pour toi ? Ils réclament du sperme… Décharge tout entre mes obus pour les rassasier. Il ne fallait pas me le dire deux fois. Je m’assis à califourchon sur Laurence, je me branlai sans vergogne à l’aide de ses seins qui s’y prêtaient si bien. Nous étions tous les deux partis dans un autre monde jusqu’au franchissement du point de non-retour pendant lequel je ne parvins plus à me retenir. Je lâchai tout sur sa poitrine. Nathalie vint alors nous rejoindre. Elle était encore la seule habillée… Elle se mit à lécher à la fois ma bite et les seins de sa copine, passant d’elle à moi très régulièrement, pendant que je caressais ses fesses à travers sa jupe et glissais aussi loin que possible des doigts agiles à l’intérieur - je constatai qu’elle avait judicieusement choisi de ne pas porter de petite culotte. ...