Dix-huit ans
Datte: 16/08/2017,
Catégories:
ffh,
jeunes,
BDSM / Fétichisme
entreseins,
Oral
pénétratio,
... sachant très bien ce que j’avais en tête ; je saisis la balle au bond et lui dis : — Écoute, ça me ferait très plaisir qu’on aille prendre un verre ensemble samedi soir. Pour une fois, ça nous donnera l’occasion de discuter un peu plus longuement. Je connais un resto pas mal du tout, l’ambiance y est géniale. Elle me répondit : — Pourquoi pas ? Ah non ! Mes parents sont en voyage ce week-end, et m’ont strictement interdit de sortir. Ils vérifient que je respecte bien ça en demandant aux voisins de me surveiller. Dommage, parce que ça me disait bien. Vraiment pas de chance… À moins que… oui, on n’a qu’à faire ça comme ça, tu peux venir chez moi et on discutera tranquillement, alors. OK ? Bien évidemment j’acceptai, empli de joie, et me préparai déjà à un samedi inoubliable – autant dire que le temps me semblait se dérouler à une vitesse bien trop lente en cette fin de semaine. Lorsque le moment vint, je me présentai à l’entrée de son immeuble. Je montai tranquillement les quatre étages qui me séparaient de chez elle, et sonnai à sa porte. Quelle ne fut pas ma surprise de voir apparaître une jeune fille blonde ! Je ne l’avais jamais vue auparavant. Elle portait une mini-jupe si serrée qu’on se demandait comment elle faisait pour ne pas exploser dedans - pourtant elle avait des hanches bien minces ! - et un haut bleu marine serré. Elle n’avait pas une poitrine aussi généreuse que celle de Laurence, mais c’était tout de même suffisant pour exciter mon imaginaire. Et le reste. — ...
... Bonjour, me dit-elle. Je m’appelle Nathalie, je suis une amie très proche de Laurence. Je me demandai ce qu’elle entendait par très proche, mais je n’allais pas tarder à le savoir. Je rentrai dans l’appartement, et vis que Laurence avait vraiment mis les petits plats dans les grands pour cette soirée : des chandelles, une lumière tamisée… Bref, une ambiance romantique du meilleur cru. Seule me troublait la présence de Nathalie. Je demandai alors à Nathalie où était Laurence. Elle me répondit qu’elle finissait de se préparer et qu’elle nous rejoindrait dans quelques minutes. J’engageai la conversation sur ce qu’elle faisait dans la vie, ses centres d’intérêts, etc. Mais malgré tous mes efforts je ne parvenais pas à dégager mes yeux de sa jupe, et surtout de ce que celle-ci cachait si mal. Nathalie ne pouvait pas ne pas s’en apercevoir et finit par me dire, assez doucement, de me tenir sage, et d’attendre tranquillement Laurence. Lorsque Laurence arriva, je fus figé sur ma chaise : elle ne portait qu’une petite culotte blanche en dentelle, des chaussettes noires qui lui montaient jusqu’au genou et un haut à moitié transparent à travers lequel on pouvait apercevoir la pointe de ses seins. Mes parties intimes commençaient à s’agiter sérieusement, à tel point que Nathalie le vit, et me dit : — Si tu veux, je peux t’aider à te mettre à l’aise. Ne prenant même pas la peine d’attendre ma réponse, elle se mit à m’enlever ma ceinture et mon pantalon, puis ma chemise. Il ne me restait ...