mon métier de médecin - suite et fin
Datte: 26/02/2019,
Catégories:
Gay
Quelques années d’attente, et je fus accepté comme médecin militaire. Enfin j’allais pouvoir assouvir mon fantasme.Je fus affecté pas très loin de chez moi dans une caserne de recrutement. Ma fonction et mon grade me donnaient un certain ascendant sur ceux qui venaient me consulter.La visite médicale était obligatoire pour les nouveaux arrivants. La tranche d’âge était entre 18 et 25 ans. Après être passé par la secrétaire qui m’assistait, je les recevais un par un.Le scénario était toujours le même. Je leur demandais de se mettre nus. Certains étaient réticents, d’autre sans aucune pudeur. Resté derrière mon bureau, j’avais une vue d’ensemble de ces jeunes hommes parfois très musclés – un régal – d’autres dans la norme, certains plus enrobés prédisposant un futur ventre. Mon regard était toujours plus attiré par leur sexe. Il y en avait dans la norme circoncis ou pas avec des boules bien pendantes, d’autres - qui peut-être ou pas - montraient des sexes petits, des boules remontées, et puis les exceptions, ceux qui étaient hors norme, des verges dépassant leurs boules. Le point commun c’est qu’ils avaient tous encore leur toison pubienne plus ou moins fournie ou entretenue. Cette inspection terminée, je les mesurais, les faisais se peser, ensuite, je vérifiais leur colonne vertébrale jusqu’aux fesses, puis me positionnais devant pour ausculter leurs jambes remontant des pieds jusqu’en haut de la cuisse ce qui faisait que je frôlais au passage leurs testicules.Pour ...
... l’auscultation, je les faisais s’allonger sur la table prévue à cet usage. Assis, je pouvais promener mon stéthoscope dans leur dos, sur leur torse – ce que je préférais car je pouvais regarder leur entre jambe en même temps – puis je les faisais s’allonger pour palper leur ventre. Pour palper l’aine, je leur écartais les jambes. Arrivait le moment d’ausculter leur intimité. Je commençais par pendre en main leur verge que je décalottais au maximum lorsqu’ils n’étaient pas circoncis découvrant leur gland que j’écartais pour contrôler l’ouverture de l’urètre, puis je tâtais leurs testicules, avec délicatesse prenant du plaisir à le faire. Le moment le plus délicat pour eux et jouissif pour moi était l’examen de leur anus. Je leur disais de placer leurs jambes sur les étriers, et d’écarter leurs fesses pour un examen rectal. Après un examen visuel, de leur rondelle, j’enduisais mon doigt ganté d’un gel pour l’introduire doucement. Certains résistaient, il fallait que j’insiste, d’autres se laissaient pénétrer comme si passage était déjà fait. Tout en faisant aller mon indexe, je regardais leur visage, qui tantôt se crispait, tantôt semblait éprouver du plaisir. Pour ces derniers, affichant une érection plus ou moins forte, je prolongeais mon introspection anale, voire d’introduire un deuxième doigt. Leur gémissements ne laissaient pas indifférent mon sexe qui prenait du volume dans mon slip. Il est arrivé que les plus excités ne pouvant retenir leur éjaculation maculent leur ventre voir ...