mon métier de médecin - suite et fin
Datte: 26/02/2019,
Catégories:
Gay
... leur torse de leur sperme. Si certains étaient gênés, d’autres me gratifiaient d’un sourire de satisfaction lorsque je leur tendais un essuie-tout. J’imaginais et fantasmais sur les rencontres et les plaisirs qu’ils rencontreraient dans ce monde de garçons, et cela me mettait en très bonne condition lorsque je retrouvais ma femme.Je mangeais au mess des officiers lorsque j’étais présent à l’heure des repas. J’avais croisé le regard d’un jeune caporal. Nous avons sympathisé, et chaque fois que cela était possible, nous déjeunions à la même table. Nos échanges nous rapprochaient. Il avait 32 ans, faisait du sport le plus souvent possible. Il restait très discret sur sa vie intime.Lorsqu’un soldat voulait me consulter, il devait avoir l’aval de son supérieur, pour les officiers, il suffisait qu’ils demandent un rendez-vous. Mon caporal m’en demanda un au cours du repas de midi. Je lui en proposais un en début d’après-midi qui était plus calme.Il est arrivé en tenue, moi revêtu de ma blouse blanche. Je lui demandais ce qui n’allait pas.Il se plaignait d’un mal au ventre. Je lui demandais d’ôter ses vêtements du haut. Je commençais l’auscultation classique avec mon stéthoscope de son torse à peine musclé, lisse sauf une ligne de poils noirs à partir du nombril, disparaissant dans son pantalon.Je le fis s’allonger sur la table, lui demandant de dégrafer sa ceinture, déboutonna les premiers boutons de sa braguette laissant voir le début de son slip bleu. Les bras sous sa tête, je ...
... palpais son ventre. Je ne découvris rien d’anormal. Il me dit que c’était plus bas. Je glissais mes mains dans son slip pour le palper. Mes doigts touchaient ses poils. En tournant la tête, je vis qu’il avait fermé ses yeux comme pour mieux apprécier ma palpation. Je ne décelais rien de suspect. Pour le rassurer, je lui dis qu’il pouvait revenir quand il voulait. Deux jours plus tard, je voyais qu’il avait pris rendez-vous en début d’après-midi.En entrant dans le cabinet, il me dit qu’il avait toujours mal. Allongé sur la table, je lui demandais d’ouvrir son pantalon. Il l’ouvrit largement. Je commençais ma palpation au niveau du bas ventre. Comme la première fois, il fermait les yeux lorsque je touchais ses poils pubiens. Je continuais sans trop m’aventurer, jusqu’au moment où sa main saisit mon bras, et poussa ma main dans son slip. J’avais atteint sa verge prisonnière déjà gonflée. Voyant que je ne la retirais pas, il lâcha mon bras. J’investiguais plus en avant. Ma main caressait ses testicules recouverts de poils soyeux.A cet instant, quelqu’un frappa à la porte du cabinet. Le temps de retirer ma main, j’allais voir qui toquait. C’était la secrétaire qui prenait son service et de m’avertir que le colonel – le boss de la caserne – viendrait pour une consultation dans une heure.A regret, je dis au caporal de revenir un autre jour pour approfondir l’examen, que le colonel allait arriver. Il se rhabilla, me qualifia d’un sourire ravageur et sortit.Resté seul, je comprenais ...