1. mon métier de médecin - suite et fin


    Datte: 26/02/2019, Catégories: Gay

    ... mieux ses allusions qui n’étaient pas pour me déplaire, lorsque nous mangions ensembles. Je me demandais jusqu’où cela irait.C’est l’arrivée du colonel qui me sortit de ma pensée.Le colonel, un jeune sexagénaire bedonnant venait me consulter pour un vilain bouton sur la verge. Je lui dis me montrer. Le temps que j’enfile une paire de gants en latex, son pantalon et slip étaient sur ses chevilles. La vision était impressionnante. Sa verge dans la norme mais épaisse laissait apparaître un gros gland rose. Ses testicules pendaient comme deux fruits trop mûrs sur une branche morte. Une grande quantité de poils grisâtres et longs habillaient l’ensemble. J’imaginais qu’il ne devait pas s’en servir souvent, et qu’il manquait d’entretien.Je saisis son membre flasque pour m’informer sur ce bouton.Rien de grave dis-je, juste un kyste séborrhée. Je luis donnais un tube de pommade, lui prescrivant de s’en enduire la verge matin et soir.Resté seul, je pouvais comparer la douceur des poils de mon caporal et ceux négligés du colonel.Lors d’un de nos repas, mon caporal me dit qu’il voulait me revoir. Je lui dis qu’il ne pouvait pas venir la journée, afin de ne pas étonner la secrétaire de ses visites rapprochées. Je lui suggérai de venir un soir de la semaine suivante lorsque je serais de garde. Cela me semblait bien loin, car il occupait ma pensée.Plus le moment de son arrivée approchait, plus ma tension artérielle augmentait. Il frappa à la porte. En l’ouvrant, mon caporal était en en ...
    ... jogging. A peine entré, il se colla à ma bouche, m’entoura de ses bras. Je ne pus résister à son baiser. Ma bouche s’est ouverte pour accueillir sa langue. Il savait y faire le bougre ! Sa langue cherchait la mienne, l’entourait, explorait ma cavité buccale dans les moindres recoins. La douceur avec laquelle il s’exécutait eut un effet immédiat sur ma queue qui prenait du volume dans mon caleçon. Il ne pouvait pas l’ignorer comme moi je pouvais sentir la bosse de son jogging. Tout en restant aimantés je l’ai dirigé vers la table d’auscultation.Ayant un mauvais souvenir avec l’interne hospitalier, je voulais diriger la manœuvre. Je l’ai allongé sur la table, retiré son sweat, ses chaussures et chaussettes, son pantalon. Il était allongé entièrement nu, la queue perpendiculaire à son ventre, ses boules reposées sur ses cuisses jointes. Devant cette vision, j’avais l’impression que ma braguette allait exploser tellement elle était tendue par mon érection. Il me dit de l’ausculter.J’ai commencé par son torse glabre. Je promenais l’embout du stéthoscope sur ses pectoraux, appuyais légèrement sur ses tétons. La fraîcheur de l’appareil le faisait tressaillir. Je lui demandais de se mettre sur le ventre pour continuer l’auscultation. Son dos était régulier, ses fesses magnifiquement rebondies, pas l’ombre d’un poil ne sortait de sa raie. C’est à ce moment que je sentis sa main faire glisser la fermeture éclair de ma braguette, s’introduire, malaxer mon chibre à travers mon slip. Ce ...
«1234...7»