1. mon métier de médecin - suite et fin


    Datte: 26/02/2019, Catégories: Gay

    ... l’armée avait bien raison de se doter de matériel robuste.Arrivé à la maison, toute la famille dormait. Je me suis glissé dans le lit conjugal pour m’endormir. Au matin, je me suis réveillé avec une érection magistrale. J’ai honoré ma femme comme il y avait longtemps que cela c’était produit. Pendant le petit déjeuner, ses yeux pétillaient, son visage fatigué, irradiait, comme celui d’une femme comblé par le devoir conjugal très très bien accompli.Ayant fait une garde, j’ai repris mon service l’après-midi. Une enveloppe m’attendait sur mon bureau. Elle contentait un message de mon caporal : « je dois partir en opération, tu vas me manquer. Merci pour ce moment. »Mes journées étaient souvent les mêmes, même si j’avais pu admirer le corps de cet adjudant taillé comme un athlète venu pour une consultation suite à un hématome sur le haut de la cuisse. Par habitude, systématiquement je demandais qu’ils se mettent torse nu, ce qui me permettais de vérifier le cœur, les poumons, la tension etc…. L’adjudant s’était exécuté, mais en plus avait ôté son pantalon et slip pour que je voyes cet hématome.Un vrai rugbyman aussi roux qu’un irlandais. Les pectoraux dessinés, des plaquettes de chocolat, des cuisses énormes serrées l’une contre l’autre dégageant ses attributs proportionnels à l’ensemble, sa queue au repos devait faire au moins 15 centimètres, ces boules distendues. En imaginant ce que cela pouvait donner en érection commençait à faire de l’effet dans mon slip. En regardant ...
    ... ce gros hématome, je lui demandais comment il s’était fait cela. Il me répondit qu’il jouait au rugby. J’en profitais pour vérifier s’il ni en avait pas d’autres sur ses fesses. Elles étaient aussi musclées que le reste, bien formées creusées de chaque côté. Sa raie était fournie en pilosité cuivrée. La consultation terminée, je sentais mon slip mouillé. Je suis allé aux toilettes pour vérifier. Comme je bandais encore, je me suis branlé pour me calmer.L’absence de « mon caporal » me semblait une éternité. J’honorais ma femme en pensant à lui.Avant de quitter mon bureau, je vis débarquer le colonel. Il venait m’avertir que le groupe parti en opération serait de retour. De graves problèmes s’étant produits pendant leur séjour, ils devaient de soumettre à une visite médicale approfondie avec prélèvement de sperme pour analyse. Je n’avais jamais procédé à ce genre de prélèvement dans la caserne. Les consignes étaient aussi que je devais m’assurer qu’ils le faisaient correctement, leur tendre le tube qui contiendrait leur semence – chacun interprétera comme il veut cette phrase. J’étais gêné et ravi, dans l’armée un ordre est un ordre.J’avais programmé un planning pour rencontrer les quinze soldats dès leur retour. J’avais prévu la consultation de « mon caporal » en dernier. Les soldats avaient été prévenus.Je les faisais entièrement se déshabiller afin de vérifier s’ils n’avaient de tâches suspectes sur le corps, ni d’écoulements suspects de leur pénis.J’ai vu presque quinze ...
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