1. DRH


    Datte: 17/08/2017, Catégories: Humour, Mature, Première fois

    ... le pot dedépart que je lui devais beaucoup et que cela avait été une expérienceinoubliable. Je bus plus que de raison. Il me ramena dans ma chambred'hôtel. J'étais ivre. Je perçus vaguement que non content de medéshabiller, il en faisait autant. Peut-on parler de viol ? Je n'eus quepeu de sensations. Quoiqu'il il usa et abusa de moi. Le plus dur était àvenir car revenue à moi au matin, je découvris cet homme ronflant toutprès de moi. Que faire ? J'eus peu à réfléchir, le boss se réveilla debonne humeur. Machinalement il m'embrassa sur la bouche. Que faire ?Tout s'ensuivit au trot plus qu'au galop.Nous fîmes l'amour. Éberluée je le suçais et concéder une levrette. Horsmoi tout autre eût rit de ce comique. Je dus jouer la comédie affectantd'être contente de baiser avec mon patron. Il m'assura que j’avaisdésormais le pied à l'étrier. Que ma promotion était assurée. Tout lelong du retour je dus subir ces caresses et être foutue debout dansl’espace réduit d'une toilette de TGV. Tout était allée si vite. Cen'est que chez moi que je repris mes esprits. J'aurais voulu crier dansle miroir que je me faisais horreur. Que je n'étais pas une putain. Maculpabilité se tint coi. J'en fus première étonnée.Il est vrai que comme tout homme, mon patron ne sut tenir sa langue. Ilmarquait son territoire en signifiant aux autres qu'il avait attrapé lapetite et que celle-ci était dessous ses airs de communiante, une petitesalope. Les messieurs ne sont pas à une exagération près. Bref je ...
    ... dusrapidement gérer de nouvelles sollicitations d'autres hommes. Pour lamajorité, ils avaient pouvoir hiérarchique sur moi. Ils pouvaient nuireà ma carrière. Les chimères du harcèlement sexuel n'ont pas cours ici.Les autres femmes avaient subi le même parcours.Aussi du même flegme et qui ne laissait pas de m'étonner, je suçais peuaprès Jean, mon sous-directeur. Avec un air impérieux et après que nousrevenions de réunion il m’avait demandé de faire cela dans le parking dela société. Je lui fis remarquer qu'on pouvait nous voir à cette heurede sortie où nombres de collègues passaient. Il me dit mi-sérieux quecela l'excitait. Je ne pus que baisser la tête pour qu'on ne vit qu'àpeine ma chevelure blonde dessus monsieur le sous-directeur. Je pouvaisespérer qu'on ne put identifier la salope qui suçait ce jour-là. Il mesomma d'avaler.Je devins amante officiel du sous-directeur, le patron ayant jeté sondévolu sur une autre. J'étais l'objet de pratiques insolites etvicieuses. Notamment je devais enlever ma culotte avant que de lerejoindre dans son bureau. Il me demandait à lui présenter des documentstandis que sa main preste me relevait la jupe parcourant mes fesses etme tripotant le sexe. Je devais rester impavide durant car les collèguespouvaient nous voir à travers la cloison de verre. Je pris goût à cejeu. Je mouillais. Nous allions peu après aux toilettes finir.Entre temps je dus admettre que mon mari était médiocre au pieu. Baiserl'embêtait. Au contraire je prenais goût à la chose. Outre le ...