Un long soir d'hiver ! (1)
Datte: 17/08/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... intimité. — Caressez-vous pour moi, j’aimerais entendre vos soupirs. Au téléphone, l’inconnu donne d’une voix sucrée un ordre qui n’en est pas tout à fait un. La chaleur vient de monter d’un cran et Louise pose sa main sur la queue de son mari. — Madame… je vais dire tu, pour gagner du temps. Tu vas faire ce que je te demande ? Allez, réponds ! Louise s’entend bizarrement bégayer — Ou…oui. Et sa main va se poser sur l’endroit demandé. — Toi l’homme… regarde par la fenêtre devant toi ! Le téléphone continue d’égrener ses ordres spéciaux. — Tu vois cette petite lumière, là-bas au fond du parc, je vous regarde, alors faites ce que je vous demande et tout ira bien. Le regard de Francis se fige sur une lueur qui se trouve à l’orée des quelques arbres qui bordent leur propriété. Il sait qu’on les observe, mais cette situation loin de lui couper ses envies, semblerait les accentuer. Il jette un coup d’œil à Louise, celle-ci semble amusée par la situation. Du reste, sa main ne s’est elle pas posée sur sa bite à la première injonction ? Alors il dit simplement : — D’accord, allons-y. La voix maintenant s’adresse à Louise. — Mets-toi à genoux et suce ton homme qui va se mettre debout, mets-toi de profil que je profite du spectacle. Francis est debout devant le bout du canapé, proche de la croisée fermée Louise tombe à genoux et sa bouche entre en action. Les instructions arrivent, métalliques, impersonnelles. — Caresse-lui les couilles, lèche-les, descends ta langue, voilà encore, ...
... remonte dans la raie avec tes doigts. Parfait tu es une belle salope. Louise s’exécute sans remords, ses mains vont là où on lui demande de les mettre, sa langue navigue sur la peau de son mari, couvrant le chemin d’une salive brillante. Elle se sent mouillée jusqu’à en couler d’être ainsi dirigée. Elle ressent cette incroyable envie d’être vue et de savoir qu’elle est regardée par un ou des inconnus, lui donne des crampes au fond du ventre. Sa chatte pleure de bonheur. Francis laisse faire et il apprécie les caresses, se contentant de glousser doucement quand la pointe de la langue lui arrache un soupir plus fort, quand les doigts se font plus pressants. Sa bite est rigide, gonflée, palpitante et son envie est tout juste maîtrisée. Il doit faire des efforts pour ne pas éjaculer sous les assauts conjugués des mains et de la bouche de Louise. La voix continue de dicter ses volontés et les deux amants font ce qu’on leur demande. L’inconnu dit soudain : — Devant votre porte-fenêtre, j’ai posé deux masques, prenez ceux-ci, mettez-les et ensuite laissez la porte ouverte. La voix dans le téléphone est péremptoire, sans tremblement, claire sans être dure, juste ce qu’il faut pour être autoritaire. Louise se contracte un peu à l’annonce de la venue de l’inconnu. C’est surtout la manière de faire de celui qui va venir peut-être, qui la tétanise. Elle songe qu’après tout ils peuvent dire non. Le choix, c’est une décision qu’il faut prendre, vite pour que le jeu qui a débuté se poursuive ou ...