1. Un long soir d'hiver ! (1)


    Datte: 17/08/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... prestement, ne gardant rien et Francis aperçoit un sexe long et d’un diamètre imposant. Il est en semi-érection. Francis se dit qu’il doit être imposant dans les conditions optimales de pénétration. L’homme demande à Louise de se mettre debout devant le canapé. La voilà face à l’inconnu, les bras le long du corps, et son petit cul se montre à son mari. Elle ne bouge pas, attend qu’on lui demande de faire ce que l’homme veut. — Écarte les jambes ! La jeune femme s’entend dire cela en frémissant ! Ses cuisses s’éloignent l’une de l’autre et elle est consciente que sa chatte est visible par celui qui se trouve sur le sofa, bien assis. Une main de l’intrus se pose sur l’intérieur de la cuisse, au niveau du genou et elle remonte lentement. Francis ne perd pas une miette du spectacle de sa femme tripotée par un autre que lui. Louise sent les doigts qui rampent sur sa peau douce, qui viennent dans la fourche des jambes et qui commencent à jouer avec une petite touffe de poils de sa toison bien entretenue. Puis bien sûr un doigt frôle le clitoris, et repart pour mieux revenir. Un petit soupir s’échappe de la gorge de Louise qui commence à avoir chaud, à aimer cette étrange situation, bien qu’elle se demande où se trouve son mari. L’homme vient de la pénétrer d’un doigt et il commence un léger va-et-vient, puis il accentue la vitesse, fait tourner ses phalanges dans la foufoune et elle commence à mouiller… Francis ne dit mot, ses yeux ne perdent rien de l’hallucinante scène qui se ...
    ... déroule sous son regard. Son sexe est monstrueusement tendu et il ne peut rien faire pour se soulager. Ses bras sont maintenant un peu endoloris par les liens qui le serrent trop. L’homme se lève quelques secondes et le bandeau de Louise quitte ses yeux pour voler sur la moquette du salon. Elle voit l’inconnu, mais bien sûr, elle ne bronche pas. Celui-ci lui intime l’ordre de mettre ses mains sur sa tête. Elle obéit immédiatement. Les doigts de ce type sont revenus fouiller son abricot doré et il est très minutieux, aucune paroi de son vagin n’est oubliée, il en parcourt chaque recoin d’un index expert, savourant chaque repli, et lui tirant des soupirs d’aise. dfdaaro Elle se laisse faire, se laisse aller aussi à son envie, et elle sait que les doigts qui la touchent, la violentent un peu sont trempés de sa mouille qui coule sans discontinuer maintenant. Elle est obligée de se coucher sur le canapé et l’homme est venu mettre sa tête entre ses cuisses. Sa langue est là qui titille le clitoris qui pointe, érection perceptible due aux caresses tellement bien ciblées de l’inconnu. Francis voit son épouse étendue, la bouche de cet autre qui fouille son intimité et il ne peut rien faire, pour se soulager de cette envie qui lui tenaille le bas-ventre. Juste impossible de ne pas regarder, ses yeux ne peuvent plus quitter ce spectacle que lui offre cet homme visitant la chatte de son épouse. Et la voilà qui crie, sa jouissance montant, Louise pousse des gémissements, et les non qui ...
«12...456...9»