1. Liaison inattendue


    Datte: 01/03/2019, Catégories: fh, fplusag, extracon, Collègues / Travail forêt, campagne, amour, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral amourcach, consoler,

    Quatre heures du matin, je me gare devant la maison et éteins vite les feux et le moteur pour ne pas réveiller le voisinage. J’entre dans la maison, suis le couloir en angle droit, il y a de la lumière au fond à gauche, elle est dans la salle de bain. J’entre, elle est nue dans sa baignoire. — Bonjour.— Bonjour, tu vas bien ?— Oui, surtout quand je te vois comme ça. Elle se met debout, j’attrape son peignoir, lui passe sur les épaules, je ne peux m’empêcher de faire un baiser appuyé sur chacun de ses tétons. — Coquin ! me dit-elle, ce qui me fait sourire. Je ferme son peignoir et la frictionne délicatement pour la sécher, puis elle sort de la baignoire et se dirige vers sa chambre, en face. Devant le lit, elle défait son peignoir et je la regarde s’asseoir nue sur le bord de son lit. La bosse naissante dans mon pantalon est désormais bien visible. N’y tenant plus, je me penche devant elle et l’embrasse à pleine bouche. Tout en l’embrassant, je la pousse doucement jusqu’à faire tomber son buste sur le matelas. Je quitte ses lèvres pour l’embrasser plus bas, sur le cou d’abord, puis ses épaules, ses seins sur lesquels, je m’attarde longuement, en m’aidant de mes mains. Je ne sais pas pour vous, mais il y a quelquefois des peaux que l’on aime toucher plus que d’autres, ou alors qui font plus d’effet, je ne sais pas, mais j’adore son grain de peau. J’ai l’impression qu’il s’accorde avec le mien. Toujours est-il que j’adore la toucher, la caresser et comme elle n’y voit aucune ...
    ... objection, j’en profite… J’en suis au nombril et continue de descendre vers sa toison, je souris intérieurement : la première fois que je l’ai vu nue, je n’ai pu m’empêcher en voyant cette touffe énorme de lui dire sur le ton de la plaisanterie, que j’aimerais la lui raser, cela ne l’a pas vexée, mais elle m’a répondu le plus sérieusement, qu’elle trouvait que cela faisait naturel. Le lendemain, sa toison était sérieusement rafraîchie, pas rasée, mais un léger tapis de poil couvrait tout son pubis. Je m’en contenterai, avais-je pensé. Ma langue est maintenant au niveau de son clitoris et il est déjà bien humide, je m’en délecte déjà. Avec le pouce et l’index, j’écarte sa vulve, et me mets à lui lécher méthodiquement, donnant de petits coups de langue, ou léchant de bas en haut pour me repaître de son nectar. Son bassin se met à onduler imperceptiblement, je continue donc de plus belle. Ses mouvements sont maintenant bien appuyés et j’ai du mal à suivre le mouvement, puis elle s’arrête et me dit : — C’est trop bon… viens ! Je me déshabille en vitesse, mon sexe dur est dressé fièrement et soulagé d’être libéré de sa prison de vêtements. Je m’allonge sur elle et mon sexe a déjà trouvé le chemin vers sa grotte humide et chaude, il s’y enfile quasiment de lui-même tant il est attendu. J’aime sa peau contre la mienne et malgré mon âge (40 ans), j’en suis à penser à ne pas jouir précocement, tant c’est bon. J’adore sa peau et nos mouvements sont d’une telle fluidité, nos corps si ...
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