1. Liaison inattendue


    Datte: 01/03/2019, Catégories: fh, fplusag, extracon, Collègues / Travail forêt, campagne, amour, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral amourcach, consoler,

    ... renseigne et l’on me dit qu’elle ne se sentait pas bien et qu’elle est rentrée chez elle. J’ai arrêté sa machine et continué mon travail en étant un peu mal à l’aise, sans pouvoir m’expliquer pourquoi. La journée terminée, je monte dans ma voiture et avant de la démarrer, je repense à M., je me dis qu’il faut que je passe voir si cela va malgré tout. Je prends la route qui mène chez moi, puis bifurque à droite dans la direction de sa maison. Je me gare et vais sonner à sa porte. Elle m’ouvre, les yeux rougis, mais souriante et me propose d’entrer. Elle nous prépare un café en m’expliquant son histoire récente : son mari s’est trouvé une grosse et moche bonne femme, lui n’est pas un modèle de beauté non plus. Il rentrait tard, ne parlait pas ou peu, sauf pour râler, se mettait devant sa bouteille d’alcool et ne la quittait que pour aller ronfler au lit, bref l’homme idéal, et il est parti. Malgré cela, c’était son mari et elle en était très affectée. Elle a ajouté que le médecin l’avait arrêtée pendant quelques jours. Après avoir discuté pendant une heure, je me suis dirigé vers la sortie en lui promettant de prendre de ses nouvelles. Le lendemain, je suis allé prendre de ses nouvelles et boire le café, et ainsi de suite jusqu’à la fin de la semaine. Elle avait toujours des petites anecdotes sur son ex-époux qui nous faisaient rire ou réagir. La semaine suivante, les horaires avaient changé et nous devions travailler ensemble l’après-midi, si elle avait repris, ce qui n’était ...
    ... pas le cas. À la fin de la journée de travail, le jour déclinait, mais je décidai de passer la voir. Elle paraissait plus calme, moins tourmentée, mais ses amis et sa famille ne l’avaient pas laissée seule, ce week-end. Elle ne m’a pas offert un café, mais proposé un apéritif. Je n’aime pas boire quand je conduis, mais je n’ai pas osé dire non et c’est un verre de porto qu’elle nous a servi. L’alcool m’est vite monté à la tête, mais nous avons bien discuté et plaisanté ensemble. Je n’ai d’ailleurs pas vu le temps passer et il était bien temps que je rentre chez moi. Elle m’a raccompagné au garage dans le sous-sol pour que je ne sois pas dans le noir jusqu’à ma voiture. Nous avons encore discuté, puis elle m’a fait la bise, mais différemment, ses lèvres appuyaient sur mes joues près de mes lèvres et… je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai dit des mots que je n’aurais pas dits en temps normal, je lui ai refait trois bises bien appuyées aussi et j’ai fini la quatrième sur ses lèvres (vous ai-je dit que j’aime le grain de sa peau ?) Nous nous sommes roulé un patin mémorable, un second tout aussi fougueux, puis elle m’a repoussé et dit : — Pars maintenant, il est l’heure. Je suis parti à regrets, pourtant, c’est vrai qu’il était tard et temps de rentrer chez moi. Sur le chemin du retour, les récents événements tourbillonnaient dans ma tête et presque arrivé chez moi, je me suis arrêté quelques secondes, le temps de lui envoyer un texto, lui disant que j’avais adoré et que j’aimerais ...
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