Liaison inattendue
Datte: 01/03/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
Collègues / Travail
forêt,
campagne,
amour,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
amourcach,
consoler,
... synchronisés, qu’à cet instant nous ne pensons qu’à notre plaisir et à celui de l’autre, rien d’autre. Vient enfin la délivrance, je jouis fortement et longuement, mon sexe est parcouru de spasmes qui déclenchent la jouissance de ma partenaire, je m’écroulerais volontiers sur elle, mais elle est si fluette que j’ai peur de l’écraser de mon poids et me tourne sur le côté à regrets. — Il faut qu’on finisse de se préparer, me dit-elle. Nous revenons vers la salle de bain pour laver nos parties intimes (et ma bouche), puis revenons vers la chambre pour nous habiller. Ceci fait, je l’embrasse une dernière fois et lui dis : — À tout de suite. Oui, nous travaillons ensemble dans la même usine, dans le même atelier et je dois partir avant elle pour ne pas éveiller les soupçons de nos collègues. Dans l’atelier, je serre la main de tous les hommes, fais deux bises à toutes les femmes et c’est un peu gêné que je fais deux bises à M. et lui dis le traditionnel :Tu vas bien ? qui n’attend pas de réponse. Les machines démarrent et comme bien souvent, je suis sur la machine en vis-à-vis de celle de M. Pendant sept heures, nous ne parlons de rien d’autre que du boulot, le bruit ambiant obligeant à hausser la voix, des paroles indiscrètes pourraient être entendues. Régulièrement, il faut remplacer le caisson situé en bas de la machine, car il est plein et je me mets à penser aux premières fois où nous avions commencé à travailler ensemble. M. est si maigre qu’elle ne met rien d’autre que des ...
... jeans (au moins au boulot) pour cacher la maigreur de ses jambes, seulement à chaque fois qu’elle se baisse pour changer le caisson de sa machine, son jean porté sans ceinture s’écarte et laisse apercevoir sa culotte et le haut de ses fesses. M’étant rendu compte de la chose, j’anticipais le changement de caisson pour me trouver à proximité quand elle se baisserait. C’était devenu LE moment que j’attendais avec impatience et chaque fois avec un petit sourire, je m’énonçais victorieusement la couleur de sa culotte dans la tête : verte, bleue, mauve, jaune… En fait, beaucoup de couleurs sauf le blanc, je n’allais évidemment pas lui demander pourquoi. Même si à 52 ans, elle est encore désirable, étant mariée, elle aussi, je n’avais pas l’intention d’aller plus loin que mon petit jeu, dont je ne me lassais pas d’ailleurs. Un matin, alors que je disais bonjour à un groupe de personnes, je vois un attroupement et m’approche par curiosité, je vois M. en train de pleurer et de se faire consoler par d’autres femmes. J’attends un peu sans m’approcher, puis demande à une des femmes du groupe qui rejoignait son poste de travail, ce qu’il se passe. — Son mari l’a quittée pour une autre, me dit-elle. Ne sachant que faire, je choisis de continuer mon travail et de ne pas m’en mêler, mais au fond de moi, j’ai de la peine pour elle. Quand le jour se lève, je la vois s’éloigner, comme toujours dans ces cas-là, je surveille sa machine en plus de la mienne, mais ne la voyant pas revenir, je me ...