L'esprit de famille
Datte: 02/03/2019,
Catégories:
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— Miss Dawson demande si vous pouvez la recevoir.— Bien sûr. Faites-la entrer, Francine L’instant d’après, elle apparaît à la porte de mon bureau. D’emblée je revois sa mère quand elle était jeune tant la ressemblance est frappante. Silhouette gracile, longs cheveux châtain clair, petits seins arrogants, une taille de guêpe, des hanches en amphore et surtout ce demi-sourire qui éblouit son visage. — Bonjour Vincent… vous me reconnaissez ?— Bien sûr Colleen. Tu as bien changé quand même. Tu avais treize ans, je crois, la dernière fois qu’on s’est vus. Et maintenant…— Vingt… ou presque… On s’embrasse ?— On s’embrasse… et tu me tutoies comme autrefois. J’ai été ravi quand j’ai reçu le mail de ton grand-père me disant de ne pas louer le Mas Rieutort cette année, parce que tu allais certainement venir l’habiter pendant quelque temps. Tu as fait bon voyage ? Tu as retrouvé l’agence sans difficulté ?— Oui, mais je suis crevée. Ça fait une trotte depuis Londres. Vincent, j’ai une soif de loup— Non Colleen, lui dis-je en riant. C’est la faim qui est de loup en France. Pour la soif, sorry, nous n’avons rien. Je la fais asseoir et demande à Francine de nous apporter quelque chose à boire. Nous avons tant de choses à nous dire que nous ne savons pas par où commencer. Nous laissons de côté le sujet principal : la raison de cette longue absence et n’échangeons finalement que des banalités. Au bout d’un moment je lui dis : — Je te propose de monter au mas, maintenant. Voici les clés. Je ...
... pense qu’il te faut te reposer un peu et je viendrai en fin d’après-midi pour voir si tu es bien installée et si tu ne manques de rien. Je la regarde s’éloigner. L’envers vaut l’endroit. Son petit derrière moulé dans un jean étroit se tortille adorablement. Vers six heures, je ferme l’agence et file vers le mas. J’appréhende d’y revenir. Sept ans que je n’y ai plus remis les pieds. Quand il fallait s’y rendre pour les besoins de la location, j’ai toujours chargé quelqu’un d’y aller à ma place. Chemin faisant les souvenirs des temps heureux où je montais là-haut tous les soirs d’été pour rencontrer Peggy m’assaillent. Elle venait depuis longtemps avec ses parents pour passer l’été dans ce Lubéron qu’ils adoraient. Quand j’ai eu mon bac, j’allais parfois aider mon père à l’agence. Un matin, Peggy est passée au bureau pour se plaindre du mauvais travail de l’équipe d’entretien du jardin. Mon père m’a proposé d’aller voir sur place de quoi il retournait. J’ai accepté avec un empressement qui le fit sourire. Il avait bien vu que j’avais été tout de suite séduit par la beauté resplendissante de la jeune femme. Le soir même, je suis monté au mas en scooter. J’ai proposé de faire moi-même les quelques travaux oubliés après quoi, n’ayant pas ménagé ma peine, j’étais en sueur. Peggy m’a proposé de prendre une douche et, comme par hasard, elle m’attendait à la porte avec une serviette. Elle m’a séché et s’est mise à rire en découvrant la raideur soudaine de mon sexe. J’étais très gêné mais ...